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e probable qu’ils forment la majorité, car peu de
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sont typiques de quoi que ce soit. Il reste que certains tours de pen
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tôt je parviens à un immense salon où beaucoup de
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debout, silencieux, regardent quelque chose qui se passe au centre de
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n venait à la SDN en tenue de magnat, beaucoup de
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comprendraient mieux sa politique. Les coussins Rothermere Le n
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it essayer d’obtenir : que la grande majorité des
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ne deviennent pas enragés dès qu’ils perçoivent de la poésie dans l’a
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la vie a parfois moins de hargne, et les petites
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plus de bonté… Déjà je suis repris par le malaise que m’infligent les
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Je ne défendrai pas les junkers… J’entends les
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de villes : « Ça ne doit pas être bien drôle à la longue ! » Avec cel
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s voici délivrés de la grande bourgeoisie, de ces
gens
qui croient devoir, ou se devoir. De ces gens grossièrement distingué
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ces gens qui croient devoir, ou se devoir. De ces
gens
grossièrement distingués qui ne vous ont pas vu, qui détournent la tê
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ble de gêne et de morgue. Et dire que ce sont ces
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-là — cette tourbe — qui se permettent de juger la noblesse terrienne.
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n que je pourrais leur en témoigner. Bon pour les
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des villes, toujours inquiets, toujours doutant de leurs raisons d’êt
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aimé une femme, pour écrire Hypérion, et pour les
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d’ici, aimer, c’est seulement vouloir se marier… » — Et puis plus tar
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homme. Tâche plutôt d’en devenir un. — Parmi ces
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d’ici, qui prennent leur temps. Parmi ces arbres. 26 mai 1929 C
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non point seulement pour le corps. J’ai pensé aux
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des villes, au décor de leur « vie ». J’ai vu clairement qu’ils sont
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rouvait qu’il y avait trop de Juifs réfugiés. Des
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frappés par le malheur, où que ce soit, il y en a toujours trop. Cepe
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le chaos. Voilà qui étonne encore trop de braves
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, nés dans un monde où presque tout allait de soi. Voilà qui éclate au
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tant il s’interroge : comment l’eussent-ils reçu,
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de leur terre, lui le nomade ? Qu’y a-t-il encore entre eux et lui ?
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s, Ostervald encore, puis Godet ; et le Droit des
gens
de Vattel. Nous avons eu d’excellents historiens : l’auteur de la Chr