1 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
1 eur de vivre ? Déjà nous éprouvons que le monde a glissé dans une ère étrange et brutale, où ces formes de vie qui sont encore
2 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
2 çu par l’amour, ou de s’inquiéter des rumeurs qui glissent au travers de propos superficiellement passionnés… Et l’on cesserait
3 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
3 s sur le fusil luisant. Les gouttes de la visière glissent d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le nez pour voir si rien
4 aposer Numa Droz et Gonzague de Reynold, quitte à glisser ensuite entre les deux une remarque de Napoléon sur la nature fédérat
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 remier train américain. Comme tout le monde, j’ai glissé mon billet dans le ruban de mon chapeau, où le contrôleur l’a pris et
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
6 s pattes n’arrivent pas à les supporter : on leur glisse sous le ventre une large pièce de bois sur laquelle ils reposent leur
6 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
7 e, une sorte de patine vénitienne, et les bateaux glissent devant les baies vitrées comme au ras des tapis. Ces splendeurs sont
8 ur, sur la rivière, une proue grise et ses canons glissait sans bruit, un énorme croiseur défilait, tout l’équipage en fête salu
7 1946, Journal des deux mondes. Virginie
9 homme silencieux de tout à l’heure. Des chiens se glissent entre les meubles, humides et tremblants. « Mais je ne sais pas recev