1 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
1 que se révèle la convergence des mythes iraniens, gnostiques , et hindouistes avec la religion fondamentale de l’Europe. De l’Inde
2 t élaborés en Perse d’abord, puis dans les sectes gnostiques et orphiques : et c’est la foi manichéenne. Les difficultés mêmes que
3 ou cathares29 se rattachaient aux grands courants gnostiques qui traversent le premier millénaire du christianisme. Et l’on sait a
4 Lumière. Ce Christ, en cela semblable à celui des gnostiques et de Manès, ne s’est pas vraiment incarné : il n’a pris que l’appare
5 out analogue à celui de la Pistis-Sophia chez les gnostiques . À la Femme instrument de la perdition des âmes, répond Marie, symbol
6 roux et Péladan), ni la Maria-Sophia des hérésies gnostiques (le Principe féminin de la divinité), ne serait-elle pas l’Anima, ou
7 eurs vies — nous rappellerons l’exemple de sectes gnostiques , qui condamnaient aussi la création, et en particulier l’attrait des
2 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
8 les croyances sont liées à celles des cathares et gnostiques . En 1929, les Doukhobors réfugiés au Canada, voulant protester contr
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
9 matière au nom de l’esprit, l’histoire des sectes gnostiques et manichéennes montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, su
4 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
10 der bibliquement le dogme traditionnel. 188. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les crimes sont un tribut payé
5 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
11 badours — ou mieux entre le complexe des hérésies gnostiques et l’hérésie de l’amour courtois — est devenue dans le milieu des éru
12 ’avoir assimilé la Maria de l’hérésie à la Sophia gnostique , et cette Maria-Sophia à l’Église cathare217. J’ai beau plaider que j
13 rogation qui est bien dans sa manière : « Théorie gnostique répandue peut-être, en Occident, par les cathares ? » On sait, d’autr
14 chez les troubadours, exalter le désir ; chez les gnostiques , en triompher (ascétisme des parfaits), ou encore ne le permettre qu’
15 IX, pourtant deux fois excommunié ; tandis que le gnostique , déjà cathare dans ses sermons et sa conduite, c’est Robert d’Arbriss
16 ntraire de ce qu’un Parfait devait professer, tel gnostique a déclaré son aversion pour l’amour et ses suites, tel éloge de la ch
17 r mes mises en garde contre la passion ; mais les gnostiques ont bien senti où était mon cœur. Les magazines féminins m’ont approu