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que se révèle la convergence des mythes iraniens,
gnostiques
, et hindouistes avec la religion fondamentale de l’Europe. De l’Inde
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t élaborés en Perse d’abord, puis dans les sectes
gnostiques
et orphiques : et c’est la foi manichéenne. Les difficultés mêmes que
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ou cathares29 se rattachaient aux grands courants
gnostiques
qui traversent le premier millénaire du christianisme. Et l’on sait a
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Lumière. Ce Christ, en cela semblable à celui des
gnostiques
et de Manès, ne s’est pas vraiment incarné : il n’a pris que l’appare
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out analogue à celui de la Pistis-Sophia chez les
gnostiques
. À la Femme instrument de la perdition des âmes, répond Marie, symbol
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roux et Péladan), ni la Maria-Sophia des hérésies
gnostiques
(le Principe féminin de la divinité), ne serait-elle pas l’Anima, ou
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eurs vies — nous rappellerons l’exemple de sectes
gnostiques
, qui condamnaient aussi la création, et en particulier l’attrait des
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les croyances sont liées à celles des cathares et
gnostiques
. En 1929, les Doukhobors réfugiés au Canada, voulant protester contr
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matière au nom de l’esprit, l’histoire des sectes
gnostiques
et manichéennes montre bien que l’abîme n’est pas infranchissable, su
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der bibliquement le dogme traditionnel. 188. Les
gnostiques
ont souvent exprimé cette opinion : « Les crimes sont un tribut payé
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badours — ou mieux entre le complexe des hérésies
gnostiques
et l’hérésie de l’amour courtois — est devenue dans le milieu des éru
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’avoir assimilé la Maria de l’hérésie à la Sophia
gnostique
, et cette Maria-Sophia à l’Église cathare217. J’ai beau plaider que j
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rogation qui est bien dans sa manière : « Théorie
gnostique
répandue peut-être, en Occident, par les cathares ? » On sait, d’autr
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chez les troubadours, exalter le désir ; chez les
gnostiques
, en triompher (ascétisme des parfaits), ou encore ne le permettre qu’
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IX, pourtant deux fois excommunié ; tandis que le
gnostique
, déjà cathare dans ses sermons et sa conduite, c’est Robert d’Arbriss
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ntraire de ce qu’un Parfait devait professer, tel
gnostique
a déclaré son aversion pour l’amour et ses suites, tel éloge de la ch
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r mes mises en garde contre la passion ; mais les
gnostiques
ont bien senti où était mon cœur. Les magazines féminins m’ont approu