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à ses propres termes, « à des causes générales »
gouvernant
le détail des événements, à une « allure principale entraînant avec e
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faires comme les siens. Pour la première fois des
gouvernants
se permettent de soumettre à l’assemblée de leurs États des questions
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re vers cet État où le gouvernement est aussi peu
gouvernant
, et le gouverné aussi peu gouverné qu’il est possible. Toujours en ga
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on est dans les peuples, la barbarie est dans les
gouvernants
. Cette barbarie est-elle voulue ? Non ; elle est simplement professio
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me guère se représenter le monde sous la botte de
gouvernants
qui fassent entièrement abstraction des notions de droit, de prospéri