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toujours bien conscient, même chez celui dont il
gouverne
le jugement et la conduite. Ainsi chez Marx : on a relevé que cet aut
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le seul souci d’administrer les choses et non de
gouverner
les hommes. Car les hommes doivent de plus en plus tendre à se gouver
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ar les hommes doivent de plus en plus tendre à se
gouverner
eux-mêmes. C’est là le but dernier du progrès politique et sa mesure
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ésidences secondaires. Il y fallait un petit État
gouverné
par un grand ami des Lettres, — et ce fut le Prince Rainier III de Mo
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e la cité, en vue et au nom de fins déterminées.
Gouverner
c’est prévoir, dit l’adage. Mais qui prévoit ? Vous lisez tous les jo
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nt emplis d’angoisse devant ce monde impossible à
gouverner
et que, même dans nos sociétés occidentales, la grande majorité rêve
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prend les gens par grandes masses on ne peut pas
gouverner
autrement. Cette « nécessité » d’écarter toute opposition constitue s
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éon ont regroupé à Paris l’ensemble des moyens de
gouverner
. C’était d’ailleurs la seule justification de cette centralisation.
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e, comment ne pas admettre après coup qu’elle ait
gouverné
dans le fait plusieurs séries de « hasards objectifs », comme dit Bre
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d’autre part l’art de piloter, c’est-à-dire de «
gouverner
» au sens étymologique une communauté — locale, régionale, nationale
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siècle. Au nord, la Principauté de Neuchâtel est
gouvernée
au nom d’un prince français, Henry II d’Orléans-Longueville, par les
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lisatrices. Si, aujourd’hui, les princes qui nous
gouvernent
voulaient vraiment faire l’Europe, ils invoqueraient, d’abord, des ra