1 ison, j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée , tout y présente un aspect complet, tout y a son fini, tout sert et s

2 voulait surtout, par ici, garder sa liberté et se gouverner comme on l’entendait. Et je me disais, en l’écoutant : « En voilà un

3 au lieu des rires que je craignais. (On peut donc gouverner sans être un monsieur en haut de forme ? Il a l’air d’un brave type c

4 nt dans chaque province ? Qu’on arrive enfin à se gouverner sur place, dans chaque commune ? On sent bien ce qu’il faudrait. Mais

5 sse de l’Europe, et qui la rendent si difficile à gouverner . La première tâche qui s’imposait, c’était de fédérer tous ces fédér

6 ement. Ils pensent que les ministres sont là pour gouverner , ce qui paraît étrange à beaucoup de Latins. Ils pensent donc, tout n

7 oyant administre l’État, on ne saurait dire qu’il gouverne les Suisses, et c’est très bien. Mais dans le domaine de la culture,