1
es germaniques, c’est d’une part la volonté de se
gouverner
soi-même, ce qu’on appelle aujourd’hui l’autogestion, le gouvernement
2
gouvernement local indépendant, la volonté de se
gouverner
par un collège de prud’hommes, non par un seul chef qui serait tout d
3
rit des communes, c’est d’abord une volonté de se
gouverner
soi-même. C’est donc un esprit frondeur contre toute espèce de pouvoi
4
des cités s’habituent, tout naturellement, à être
gouvernés
au lieu de se gouverner. L’homme de la polis se gouvernait. L’homme d
5
out naturellement, à être gouvernés au lieu de se
gouverner
. L’homme de la polis se gouvernait. L’homme de la grande ville est go
6
s au lieu de se gouverner. L’homme de la polis se
gouvernait
. L’homme de la grande ville est gouverné de l’extérieur, d’une manièr
7
lis se gouvernait. L’homme de la grande ville est
gouverné
de l’extérieur, d’une manière passive, il assiste aux luttes entre le
8
est un esprit frondeur basé sur une volonté de se
gouverner
soi-même en s’affranchissant de la domination des seigneurs territori
9
nt de sa responsabilité civique, s’habitue à être
gouverné
. Sa liberté se retranche dans la sphère de sa vie privée, suivant une