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hui, on les voit assez enchantés de l’affaire : «
Gratuit
! », déclarent-ils chaque fois qu’ils ne comprennent pas. Il faudrait
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re avec le plan moral. Telle action peut paraître
gratuite
au lecteur parce qu’il ne sait pas tout sur le personnage. Mais quant
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que ses actions les mieux concertées. Rien n’est
gratuit
que relativement à un système restreint de références. Il résulte de
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livrer à ses déterminants, c’est de mener la vie
gratuite
que réclament les surréalistes. Le contraire de la liberté. D’autre p
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la liberté. D’autre part, on veut donner à l’acte
gratuit
une valeur morale en disant qu’il révèle ce qu’il y a de plus secret
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’utilitarisme », la décision réfléchie, aussi peu
gratuite
que possible, d’un Julien Sorel, est-elle moins révélatrice du fond d
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ressé, tandis qu’en littérature je défends l’acte
gratuit
, je réponds que la littérature remplirait déjà suffisamment son rôle