1 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
1 ir impatient et pourtant vague d’une consolation2 gratuite . Il y a dans l’homme moderne un besoin de vérifier qui n’est plus lég
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
2 e, n’y admirant à leur coutume qu’une fantaisie «  gratuite  » de l’imagination. Nul doute que l’art de Chamisso ne « signifie » e
3 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
3 en ne conçoit pas de pardon par amour et de salut gratuit , et c’est pourquoi les châtiments qu’infligent les dieux revêtent en
4 re tant d’autres, une seule pensée d’amour pur et gratuit . L’auteur du nouveau Testament n’en demande pas davantage à l’homme p
4 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
5 y attarder serait le fait d’une sophistique assez gratuite . Ma nature crie à l’utopie devant ma mort. De là vient que l’humanité
6 itement. » Car maintenant tout est payé. Tout est gratuit . Et c’est alors que toutes les voix des justes confondues clameront