1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
1 ’actions traite les problèmes spirituels les plus graves de « simples questions de mots », et les écarte avec la fumée de son
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
2 ble qu’on peut en tirer une constatation des plus graves  : c’est qu’il y a dans l’éthique bourgeoise une espèce de fatalité qu
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
3 errière la ruine matérielle, une autre ruine plus grave est apparue : celle d’une image du monde, d’une conception du monde f
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
4 orelle ; ce qui la rend, au double sens du terme, grave . Toute la difficulté se porte alors sur le mot pensée, et il est clai
5 soient, ne sauraient constituer une atteinte bien grave à l’intégrité de l’esprit. Les forts sauront toujours se délivrer de
6 autres faits aussi médiocres en soi, et non moins graves en tant que signes, nous prouvent que l’élite établie a perdu le sens
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 sur l’impudeur de ces curiosités. Ce qui est plus grave , c’est qu’elle oublie — nécessairement — une « loi » humaine fondamen
8 ent à bon escient. C’est ce dernier trait qui est grave . En vérité, c’est cette littérature — celle du film, celle du journal
9 our nous « l’erreur fasciste » est peut-être plus grave que les erreurs qu’elle combat, parce qu’elle figure l’image du rappo