1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 peine. Nous assistons au triple échec du cynisme grossier — « Je gagne mon bifteck » — de la morale bourgeoise, et de l’idéalis
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
2 derne se résume, à mon sens, en une phrase un peu grossière  : c’est une littérature qui aime parler pour ne rien dire. Elle n’est
3 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
3 moscovite vous aurait-elle saisi ? L’utilitarisme grossier , le matérialisme du siècle vont-ils trouver en vous leur défenseur ? 
4 écrits des commissaires susnommés, l’utilitarisme grossier trouve une espèce de justification, assez piteuse en théorie, je le c
5  : Crucifie, relâche Barrabas ! Voilà la trahison grossière , la simonie. Mais la protestation de nos spiritualistes distingués vi
6 sprit, à poser des questions bien simples et bien grossières , celles que les clercs prudents ne posent jamais, celles que nous pos
4 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
7 e peser. Cette erreur du bon sens est tout à fait grossière . Vous aurez beau tenter de mettre au départ toutes les chances de vot
5 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
8 es, de sa culture. Une analyse sociologique assez grossière suffit à révéler dans tout le continent une sorte de clivage et un do