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». Une jeune héritière très connue déclarait à un
groupe
de journalistes qui la félicitaient sur ses fiançailles, à 19 ans : «
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e cocktails que l’on passait continuellement d’un
groupe
à l’autre. Il y avait là bon nombre des « intellectuels » de vingt à
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retroussées, fatigue, paniques locales entre des
groupes
qui bavardent… Passe Julien Green, il apporte son texte sur la vie da
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ent les dictateurs, sont au contraire le fait des
groupes
de citoyens responsables, c’est-à-dire des personnes fédérées. Ayant
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équilibre souple et constamment mouvant entre des
groupes
qu’il s’agit de composer en les respectant, et non point de soumettre
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haque fois qu’un des cantons, comme Zurich, ou un
groupe
de cantons citadins, plus riche ou plus peuplé que les autres, a cru
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coutumes, qui ne pourrait satisfaire aucun de ces
groupes
, et qui les brimerait tous. Si l’Europe doit se fédérer, c’est pour q
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du pays. La Suisse est formée d’une multitude de
groupes
et d’organismes politiques, administratifs, culturels, linguistiques,
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brimeraient nécessairement un ou plusieurs de ces
groupes
, tendraient à réduire leur variété, et mutileraient ainsi dans plusie
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oche en proche, par le moyen des personnes et des
groupes
, et non point à partir d’un centre ou par le moyen des gouvernements.
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nes qui s’ouvrent l’une à l’autre, et là c’est un
groupe
de petits pays qui forment une union douanière. Et surtout, ce sont d
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le reste du monde. La fédération sera l’œuvre de
groupes
et de personnes qui prendront l’initiative de se fédérer en dehors de
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ehors des gouvernements nationaux. Et ce sont ces
groupes
et ces personnes qui formeront le gouvernement de l’Europe. Il n’y a
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des complexités vivantes, sur la destruction des
groupes
, et sur le mépris des vocations remplacées par une fiche de mobilisat
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uelques scélérats déclarés infaillibles contre un
groupe
d’autres scélérats qui se disent de bonne volonté ! Pendant ce temps
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ance, le collectif et l’individuel, le service du
groupe
et l’anarchie libératrice, la sécurité et le risque, les règles du je
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Ici, l’équilibre vivant doit s’établir entre les
groupes
divers et la nation unie, puis entre les nations diverses et l’Europe
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évitablement le raidissement, puis la révolte des
groupes
locaux dont on exige le suicide. C’est la volonté d’unifier qui provo
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i se conduit alors vis-à-vis de l’Europe comme un
groupe
absolutisé, comme un vulgaire individu dont la prétendue liberté ne c
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à l’intérieur d’une nation la riche diversité des
groupes
, il est prêt à s’ouvrir à des unions plus vastes. Il les appelle, il
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ujours faite, par des personnes et par des petits
groupes
; par quelques « fous de Dieu » comme saint François d’Assise ; par d
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oche en proche, par le moyen des personnes et des
groupes
, et non point à partir d’un centre ou par le moyen des gouvernements.