1 t des cantons, mais des communes et des multiples groupes professionnels favorise une implantation relativement serrée de la vi

2 trent les dictateurs sont au contraire le fait de groupes de citoyens responsables, c’est-à-dire des personnes fédérées.2 On

3 , tout se passe comme si les hommes d’État et les groupes qui les instituaient avaient constamment obéi à certains principes di

4 ion. Ne mérite donc le titre de fédérateur que le groupe , ou l’État, ou la communauté d’États, ou le parti politique, qui agit

5 u plus peuplé que les autres, comme Zurich, ou un groupe de cantons coalisés au nom de leurs intérêts particuliers, ou de leur

6 coutumes, qui ne pourrait satisfaire aucun de ces groupes  ; et qui les brimerait tous. L’attitude fédéraliste veut une maîtrise

7 du pays. La Suisse est formée d’une multitude de groupes et d’organismes politiques, administratifs, culturels, linguistiques,

8 brimeraient nécessairement un ou plusieurs de ces groupes , tendraient à réduire leur variété, et mutileraient ainsi dans plusie

9 oche en proche, par le moyen des personnes et des groupes , et non point à partir d’un centre ou par le moyen des gouvernements.

10 rganisent. Et surtout, ce sont des personnes, des groupes , des écoles, qui créent peu à peu des réseaux variés d’échanges europ

11 ntre le reste du monde, mais peut être l’œuvre de groupes et de personnes qui ont pris l’initiative de se fédérer en dehors des

12 et qui, par le détour de l’opinion publique et de groupes de pression économiques ou idéologiques, amèneront quelques parlement

13 xécutif et un législatif issus des peuples et des groupes de tout ordre qui animent la vie publique. Septième principe. Une fé

14 équilibre souple et constamment mouvant entre des groupes qu’il s’agit de composer en sauvegardant à la fois leur individualité

15 r à la libre initiative des États ou régions, des groupes et des individus. Étant bien entendu que les frontières entre le sect

16 narchie individualiste (ou impérialisme local) de groupes qui se veulent souverains, comme si le reste du monde n’existait pas 

17 et responsabilité) croissante des personnes, des groupes , des communes, des régions, et finalement de l’Europe entière, pour e

18 i relève de la métaphysique), soit dans la vie du groupe ou de la cité (qui relève de l’éthique), soit dans les relations inte

19 tendances anarchiques-autarciques des individus, groupes , régions, capable donc : a) d’organiser à l’intérieur du continent le

20 r du continent les services libérant personnes et groupes des tâches mécanisables ; b) de manifester à l’échelle mondiale la vo

21 i elle accepte de lier son sort à un État ou à un groupe d’États qui s’interdit comme elle tout recours à la guerre, elle rest

22 dicalistes jouent dans le sens de l’autonomie des groupes , tandis que les traditions internationalistes et autoritaires du soci

23  » de relations de l’homme et de la femme dans un groupe historique donné : la société courtoise du xiie siècle. Ce groupe es

24 donné : la société courtoise du xiie siècle. Ce groupe est dissous depuis longtemps. Pourtant ses lois sont encore les nôtre

25 galeries d’exposition, des troupes d’acteurs, des groupes d’écrivains, voire des petites revues qui expriment ces groupes avec

26 vains, voire des petites revues qui expriment ces groupes avec l’intransigeance nécessaire. N’oublions pas que les cités qui on

27 e par des passions individuelles et par de petits groupes qui ne craignent pas de passer pour extravagants ou excessifs. Les co

28 comme l’Inde et l’Insulinde, tandis que d’autres groupes de nations récentes et plus instables, sont à la recherche de quelque

29 aux travaux de séminaire, nous avons convoqué un groupe d’une vingtaine de juristes, philosophes, historiens, économistes, th

30 olution fédéraliste de la question européenne. Le groupe doit se réunir pour la première fois dans quelques semaines. Les étud

31 titude fédéraliste ». Plusieurs des membres de ce groupe , dispersé dès 1939, se retrouvent pour déclencher, après la Seconde G

32 ’Union européenne des fédéralistes. Celle-ci, qui groupe rapidement une vingtaine de mouvements nationaux, et plus de 100 000

33 ible, ce sera néfaste pour la Suisse » ? ⁂ Quatre groupes d’arguments sont invoqués par les partisans de l’abstention. Argumen

34 qu’ici sans subordonner son économie à celle d’un groupe de nations européennes. Elle tient à garder libres ses échanges avec

35 reste libre d’avancer18. Et ceci nous renvoie au groupe d’arguments précédent. Arguments économiques. — La Suisse est située

36 cravate rouge en bataille, index pointé vers les groupes de vociférants : il les couvrait de sarcasmes acérés, lancés comme de

37 la commune, de la région, d’un plan national, de groupes de régions supranationaux, de conventions passées à l’échelle mondial

38 s y pousser, il importe d’agir sans délai sur des groupes forcément restreints d’éducateurs, capables à leur tour d’agir sur le

39 s la Résistance que se constitueront les nombreux groupes de fédéralistes européens qui dès la guerre finie vont se réunir avec

40 ui dès 1961 réunissaient à Bruxelles un important groupe de travail sur ce problème, mais encore dans les milieux dirigeants d

41 aillé, chacun dans son secteur et très souvent en groupes , à Paris et à Londres surtout, puis, pendant la semaine précédant le

42 les masses. Chaque meeting organisé par un de nos groupes affiliés devra se terminer par une collecte de signatures (et peut-êt

43 iosité de regarder quelle était la composition du groupe des 14 Suisses — de passeport ou de naissance — qui ont reçu le prix

44 t non », le oui et le non. La discussion dans les groupes d’étudiants et de professeurs — un tel groupe s’appelait un « studium

45 es groupes d’étudiants et de professeurs — un tel groupe s’appelait un « studium » — la discussion, souvent violente, à laquel

46 té des allégeances soit d’une personne, soit d’un groupe ou d’une région. Au lieu que l’État-nation voulait tout faire coïncid

47 isation des bornes-frontières. Distinguons quatre groupes parmi les « difficultés » que l’on oppose au concept de région et aux

48 presque jamais. (Chose étrange, c’est ce dernier groupe d’objections ou difficultés qui est la cause principale de l’ajournem

49 e leur structure politique. C’est donc ce dernier groupe d’arguments que l’on va tenter d’analyser.) II. Que la région ne

50 ce domaine (unité d’habitation, commune, région, groupe de recherches) et les moyens requis pour les constituer ; 2° à cherch

51 ant décidée la structure des réseaux d’échange et groupes de production économiques, ni des institutions sociales et culturelle

52 res. Et ce caractère va se transmettre à tous les groupes qu’il formera avec d’autres hommes, ses semblables. Ces groupes devro

53 formera avec d’autres hommes, ses semblables. Ces groupes devront être à leur tour à la fois autonomes et solidaires : pour eux

54 communs, de participation efficace à la vie d’un groupe concret et d’horizons ouverts, d’adhésion à des communautés plus vast

55 e conduisant à souhaiter, comme module, de petits groupes ou unités de base de douze à quinze étudiants autour d’un enseignant

56 organiser ces secours, bientôt suivi par un petit groupe formé de deux touristes anglais de passage, d’un vieil officier de ma

57 ou autres villes de congrès, et surtout dans les groupes de travail organisés par notre Centre européen de la culture. Selon L

58 e (résultante : notre association européenne, qui groupe aujourd’hui les trente-deux plus grands festivals européens). Dans l’