1 ervent » d’exercer, répond déjà le terrorisme des groupes qui se disent politiques et des gangs, de plus en plus indiscernables

2 connaissons aujourd’hui ? Oui, je crois que notre groupe personnaliste rassemblé autour des revues Esprit et L’Ordre nouvea

3 années 1930. À l’époque, j’appartenais à un petit groupe créé par Alexandre Marc qui se réunissait dans un café situé près de

4 aire, les congés payés se sont généralisés. Notre groupe a découvert très vite que les démocraties de l’Ouest allaient s’engag

5 des rares survivants de l’Orchestre rouge, ou du groupe de la Rose blanche. Enfin, en juillet de cette même année 1944, tandi

6 vaquie et de Yougoslavie, et le représentant d’un groupe de militants antinazis en Allemagne, se sont réunis dans une ville d’

7 ement du pas têtu et régulier des montagnards. Un groupe d’amis se réunit autour de lui pendant la guerre : quelques peintres,

8 témoignage d’une chaleureuse admiration. Mais un groupe de disciples et d’amis ne fait pas encore un public. Devant la résist

9 et villages d’Europe. Des milliers de mouvements ( groupes d’actions municipales, associations féminines, fédéralistes, écologis

10 es partis ont joué leur rôle au xixe siècle. Les groupes de pression les ont remplacés au xxe siècle. Je suis convaincu que l

11 en gerbe par le christianisme. Née dans un petit groupe de tribus du Proche-Orient et prolongeant ses courants prophétiques,

12 qu’il a rédigé lui-même en collaboration avec un groupe d’une trentaine des meilleurs connaisseurs internationaux et européen

13 ntre européen de la culture, à Genève, a formé un groupe de travail où sociologues, éducateurs, économistes, politologues, éco

14 le capable d’apporter. J’ai tenu la plume pour le groupe , et le petit volume qui en est résulté paraît ces jours-ci en France,

15 e qu’il vient de publier en collaboration avec le groupe Cadmos, dresse une liste des problèmes urgents auxquels l’Europe enti

16 a d’ailleurs tenté, en France, de réunir tous ces groupes sur une même liste commune (Europe-Écologie, Régions-Europe de Jean-E

17 ntre européen de la culture, à Genève, a formé un groupe de travail où sociologues, éducateurs, économistes, politologues, éco

18 le capable d’apporter. J’ai tenu la plume pour le groupe , et le petit volume qui en est résulté est paru en mai en France, en

19 hrer Triebnatur. » De la comparaison de ces trois groupes de définitions, l’on déduira que la culture, pour le Français moyen,

20 s préparent d’innombrables colloques, séminaires, groupes d’études et congrès dans le monde entier, ou résultent de leurs trava

21 de séminaires tenus à l’IUEE dès 1966, plusieurs groupes de recherches sociologiques, économiques, écologiques et historiques1

22 ontrainte exercée par l’État, c’est-à-dire par le groupe qui a saisi les moyens de coercition publique : police, information e

23 ui qui conduit à l’autonomie des personnes et des groupes . Que signifie autonomie ? Étymologiquement : auto-nomos signifie, pro

24 prendront notamment : l’exploitation de cinquante groupes de quatre centrales ; la formation et la surveillance et la gestion d

25 la guerre, doit partir d’en bas, des racines, des groupes de base que sont familles, communes, petite patrie, où la voix d’un h

26 anti-Europe va-t-elle tout écraser ? L’effort des groupes personnalistes et de leurs camarades européens dans les deux camps, m

27 istes des années 1930 » qui avaient collaboré aux groupes de l’Ordre nouveau ou d’Esprit, et des camarades résistants des pays

28 e en particulier, a coïncidé avec la fondation du Groupe de Bellerive, au cours de l’automne qui suivit les événements tragiqu

29 à Saddrudin Aga Khan et à moi-même pour fonder le Groupe de Bellerive. Nous en parlions depuis des semaines, tandis que la fiè

30 ’ailleurs, explique seule la composition de notre Groupe . Permettez-moi de vous citer ici, en hommage à la lucidité de notre a

31 , dans ces dernières lignes, les questions que le Groupe de Bellerive posait au colloque réuni par ses soins en février 1979.

32 eulement scientifique mais sociétale. Il reste au Groupe de Bellerive à développer son action aux domaines élargis de proche e

33 araître l’humanité de la surface de la Terre. Des groupes dont je fais partie ont publié des manifestes, ont essayé d’atteindre

34 « décentralisation » par exemple. Dès 1930, notre groupe le refusait, car la décentralisation, c’est ce qui est octroyé par le

35 r contre les tabous et les conventions sacrées du groupe . Alors le groupe expulse le « non-conformiste ». Ce sont ces expulsés

36 us et les conventions sacrées du groupe. Alors le groupe expulse le « non-conformiste ». Ce sont ces expulsés de divers groupe

37 non-conformiste ». Ce sont ces expulsés de divers groupes qui fondent les premières thiases grecques, communautés comparables à

38 on commencé par l’individualisme : il liquide les groupes existants pour mieux accomplir son unification, sa « mise au pas ». C

39 mme qui se convertit et s’incorpore à l’un de ces groupes y trouve d’autre part une activité sociale qui le relie à ses « frère

40 ue l’impérialisme n’est que l’individualisme d’un groupe  ; et l’individualisme, l’impérialisme d’un homme isolé. De même que l

41 il absolutise sa liberté. Le fédéralisme part des groupes locaux (commune, entreprise, région) et l’œcuménisme reconnaît pareil

42 églises diverses, ordres). C’est en effet dans le groupe local que la personne peut se réaliser. Car les tâches civiques y son

43 affaire. Si l’on se trouve en opposition avec le groupe , on a la possibilité matérielle d’y faire entendre sa voix. Si cela n

44 a voix. Si cela ne suffit pas, on peut changer de groupe . L’on n’est donc pas isolé, comme l’individu se trouve isolé dans une

45 ne fédération l’on peut toujours adhérer à divers groupes , l’un religieux, l’autre social, le troisième culturel ou politique,

46 lieu de pétrifier les frontières extérieures des groupes qui forment la fédération, il cherche à vivifier leurs foyers. Et de

47 tures politiques d’une nation. J’indiquerai trois groupes d’exemples de cette précédence des facteurs religieux. Voilà le premi

48 s d’Amérique. (La forme de « l’individualisme par groupes  » dans ce dernier pays, étant prédéterminée par le fait — d’ordre ecc

49 iste. Des auteurs isolés l’ont fait entendre. Des groupes d’intellectuels ont tenté de formuler certaines réponses partielles.

50 ant d’occasions par lui offertes — conférences et groupes d’études — de mieux imaginer le problème de l’avenir, je lui dédie ce

51 les deux ou trois prochains bilans annuels. ⁂ Le groupe personnaliste intitulé Ordre nouveau 58 fut le seul, dans les années

52 siècle. Je le revois, souvent silencieux dans nos groupes , avec ses grands yeux mélancoliques aux larges cernes, et sa distract

53 émorables entre le Tout-Paris des générales et le groupe surréaliste, dans lequel André Breton s’est réservé le droit de fulmi

54 t personnaliste. Ils vont orienter la doctrine du groupe le plus original et radical de ceux qui composent ce mouvement : l’Or

55 e fut durant neuf ans le « Comité directeur » des groupes « Ordre nouveau », titre ronflant qui désignait en fait le comité de

56 ait le comité de rédaction de la revue, car les «  groupes  » furent épisodiques. Les Fragments nous apprennent d’où venait la fa

57 d L’Avenir est notre affaire … Des deux juifs du groupe , l’un était agnostique — Robert Aron — tandis que l’autre, Alexandre

58 ticienne. En vérité, nul d’entre nous, ni pour le groupe ni pour lui-même, ne rêvait d’une « prise de pouvoir » au sens du jeu

59 ’hui. Pas de virtuoses de la palinodie dans notre groupe . Plus d’idées neuves que de moyens de les communiquer au grand public

60 lus spécifiques de la doctrine élaborée par notre groupe , n’ont cessé de gagner en actualité, au point d’en occuper depuis que