1 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
1 eu de temps. À Paris, j’entre en relation avec un groupe de jeunes gens. Ils ont mon âge, mes préoccupations. En quelques mois
2 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Robert Aron : le témoin d’une génération passionnée (9 mars 1974)
2 t désuètes. Nous fondions les premières revues et groupes personnalistes. Il venait du surréalisme, dont il avait conservé une
3 a NRF . Je le revois souvent silencieux dans nos groupes , avec ses gros yeux mélancoliques aux larges cernes, et sa distractio
4 présence d’esprit politique. Il était, dans notre groupe , le complément parfait d’Arnaud Dandieu, avec lequel il allait signer
5 e dans sa tendance la plus radicale, qui était le groupe de l’Ordre nouveau. Soit dit en passant, c’était à peu près le contra
6 e l’ON, entre les nietzschéens, qui dominaient le groupe , les catholiques d’ Esprit et quelques protestants groupés autour de
3 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
7 ion très proche de celles qu’avaient adoptées les groupes de jeunes intellectuels qu’on appelle aujourd’hui « les non-conformis