1
a donc, me semble-t-il, un intérêt urgent pour le
groupe
des Nouveaux Cahiers, à préciser la signification du mot violence, da
2
ela dépend de nous, c’est-à-dire à l’intérieur du
groupe
et dans ces pages. Sur le « pouvoir des mots » « Simple question
3
nce qui est en train de se constituer dans divers
groupes
. Les mots que nous étudions ici ne sont pas « vides » — le vocabulair
4
éoccupations d’une classe, d’une profession, d’un
groupe
humain quelconque, c’est l’opération nécessaire à laquelle doivent se
5
hissent pas les mêmes pensées, si l’on passe d’un
groupe
à un autre, d’une classe sociale, d’une région à une autre. Que savon
6
que les petites déformations qu’il subit dans un
groupe
donné deviennent aisément perceptibles : ce sont elles qui révèlent l
7
s : ce sont elles qui révèlent la vraie pensée du
groupe
. Nous en sommes là aujourd’hui : tout le monde réclame la liberté, de
8
Certes, les Allemands ont toujours eu le sens du
groupe
, et l’on est trop souvent tenté d’expliquer le national-socialisme pa
9
cette inerte bourgeoisie, ce n’est pas le sens du
groupe
qu’elle avait, mais le sens de l’État, qu’elle n’a pas. Le sens de l’
10
. Ma fille aînée a 18 ans. Elle est Führerin d’un
groupe
de jeunes filles qu’elle doit commander deux fois par semaine : gymna