1 st bien homogène ». Certes. Mais qu’on imagine un groupe de femmes qui pénètrent dans un tombeau, qui le trouvent vide, qui vo

2 une morale communautaire que se sont assignée les groupes personnalistes, sur l’exemple desquels je vais conclure. Le grand pri

3 je vais conclure. Le grand principe qui anime ces groupes , celui de la revue Esprit ou celui de L’Ordre nouveau , pour ne ri

4 et son prochain. Mais d’abord il s’agit, pour les groupes personnalistes, de dénoncer et de combattre tout ce qui s’oppose au l

5 mmunautaire, que travaillent depuis trois ans les groupes de L’Ordre nouveau , et ceux de la revue Esprit . Le jeune mouvemen

6 Ordre nouveau , mettez-vous en rapport avec leurs groupes  : vous y trouverez toute une tactique nouvelle d’action sociale, tout

7 e la pensée et de l’action auquel travaillent les groupes personnalistes. Qu’ils le fassent, qu’ils saisissent cette chance ; c

8 ient la vocation personnelle, ou la vocation d’un groupe et la considèrent comme dangereuse et scandaleuse. Ces doctrines sont

9 on, et qu’il n’assure à chaque homme (et à chaque groupe ou entité collective) la liberté de réaliser cette vocation divine, u

10 rchie spirituelle. La vocation d’un homme ou d’un groupe est à la fois distinction et intégration. Ces deux éléments devraient

11 er le plus possible chaque vocation culturelle du groupe (qu’il soit religieux ou national), le tout en vue de l’union (fédéra

12 e, et je la voudrais fondée sur la situation d’un groupe de frères prenant la communion. 2. Que l’Église offre un type de rela

13 ujours faite, par des personnes et par des petits groupes  ; par quelques « fous de Dieu » comme saint François d’Assise ; par d