1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
1 ’on s’attire d’ordinaire les reproches de tout un groupe d’intellectuels bourgeois qui sympathisent avec la jeune révolution.
2 tait substituer aux lois — les hommes, les petits groupes d’hommes qui font la loi. C’était substituer au dogme de la toute-pui
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
3 lieu et du temps où on les mesure. Seuls donc les groupes de forces ou d’hommes, exactement situés dans le temps ou l’espace, p
4 le mouvement œcuménique. Et dans le mouvement des Groupes d’Oxford. Et dans le domaine pédagogique. C’est elle enfin qui pousse
5 elle, non collective. Elle réside dans les petits groupes , non dans l’État totalitaire. Elle a pour formule réelle — même là où
6 force, bâtir cette fédération de personnes et de groupes organiques, c’est obéir à notre vocation présente, mais c’est aussi a
3 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
7 un régime politique actuel, ou une classe, ou un groupe d’intérêts : je veux être vrai. Je ne puis donc me contenter ni de la
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 sme, ou le national-socialisme. Le nous, c’est le groupe , le faisceau, la troupe d’assaut, puis le Parti ou la nation organisé
9 ectivés et prisonniers de ce rapport, le nous. Le groupe ainsi est défini par l’extérieur, disons par sa circonférence. Et com
10 leurs altérations. Les hommes qui constituent ce groupe ne sont plus des hommes totalement « humains » puisque l’un des pôles