1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
1 ent interminable jusqu’à l’autocar où notre petit groupe de voyageurs transis s’installe rapidement. Après quoi l’on attend pe
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
2 de l’état actuel de l’URSS. Ils étaient venus par groupes , à bicyclette ou en charrettes, de tous les villages voisins. Du haut
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
3 ec dans les passages étroits. Sur les seuils, des groupes de femmes en noir jacassent pendant des heures. Des enfants en sarrau
4 l’éducation et le métier. C’est cela qui crée des groupes , des couches, des différences et des affinités, au moins autant que l
5 ofesseurs. Beaucoup de discussions dans de petits groupes . Très curieuse, cette reprise de contact avec le monde de la « cultur
6 utre chose. » Et l’on décrit les croyances de son groupe en « parlant de la pluie et du beau temps ». (Je dis bien groupe, car
7 lant de la pluie et du beau temps ». (Je dis bien groupe , car il y a peu de « personnes ».) 15 avril 1935 La sieste de
8 vivent ? — Déjà les voisines arrivent, par petits groupes , parlant beaucoup. 9 mai 1935 Me voilà donc brouillé avec Simar
9 ) On dit que cela ressemble à l’Albanie. C’est un groupe de hautes bâtisses compliquées, en pierre ocrée, enfermant une cour à
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
10 — Dans le ciel vert d’un couchant de banlieue, le groupe scolaire de la mairie communiste découpe une silhouette blanche d’un
11 e ces rues, sinueuses et mal éclairées, lorsqu’un groupe de jeunes gens et de jeunes femmes sortit à vingt pas de moi d’une po