1
, le contraire de l’impérialisme d’un homme, d’un
groupe
ou d’une nation. La Suisse ne subsiste que par la fidélité de ses can
2
ils élargirent leur alliance primitive. Les trois
groupes
de communes d’Uri, Schwyz et Unterwald s’aperçurent d’abord de la néc
3
d’une ville plus riche que les campagnes, ou d’un
groupe
de cantons aux intérêts communs. Toutes les fois qu’un ou plusieurs d
4
du « fossé moral » qui se creusait entre les deux
groupes
linguistiques. Le miracle fut que la violence des passions politiques
5
e, et c’est l’appartenance simultanée à plusieurs
groupes
ou communautés, dont les limites ne sont pas les mêmes. La formule du
6
oppent la dispersion et l’interpénétration de ces
groupes
, dans la faculté de choix qui se trouve laissée à chacun, que le cito
7
holique est faible ou inexistant, comme Berne. Le
groupe
des Jeunes paysans constitue son aile gauche. Quant aux Indépendants,
8
chimistes, pharmacologues et biologistes. Le seul
groupe
Interpharma, de Bâle, disposait en 1939 de 35 instituts de recherches
9
ance mutuelle dans laquelle vivent les différents
groupes
, tant linguistiques que religieux, ne paraît nullement frapper les Su
10
le problème des minorités ne se pose pas : chaque
groupe
étant simultanément minoritaire par rapport à l’ensemble des autres,
11
bventions, a donné un regain de vitalité au petit
groupe
qui le parlait, et qui se voyait menacé de décadence rapide. En l’abs
12
vérifiable et certain, c’est que chacun des trois
groupes
romand, alémanique, et tessinois, se distingue bien nettement du gran
13
ts, le quatrième catholique. Cet émiettement d’un
groupe
déjà si restreint — moins d’un million d’habitants, rappelons-le — n’
14
ables, dont se réclament alternativement les deux
groupes
, la Confédération commettrait un suicide en épousant la cause de l’un
15
onales illimitées, les luttes de puissances et de
groupes
de puissances dans l’impuissance générale, tout tend à confirmer, aux