1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 les mythes traduisent les règles de conduite d’un groupe social ou religieux. Ils procèdent donc de l’élément sacré autour duq
2 l’élément sacré autour duquel s’est constitué le groupe . (Récits symboliques de la vie et de la mort des dieux, légendes expl
3 e des relations de l’homme et de la femme dans un groupe historique donné : l’élite sociale, la société courtoise et pénétrée
4 ée de chevalerie du xiie et du xiiie siècle. Ce groupe est à vrai dire dissous depuis longtemps. Pourtant ses lois sont enco
5 nace violemment intolérable. Il faut donc que les groupes constitués soient capables de lui opposer une structure fortement cha
6 suite, le lien social vienne à faiblir, ou que le groupe soit dissocié, le mythe cessera d’être un mythe au sens strict. Mais
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
7 e chrétien — l’Église cathare se divisait en deux groupes  : les « Parfaits » (perfecti)42 qui avaient reçu le consolamentum, et
8 tesse Stéphanie, dite la Loba, qui fait partie du groupe des hérétiques actives ! Le poème, qu’une anthologie moderne intitule
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
9 tution matrimoniale se fondait en effet sur trois groupes de valeurs qui lui fournissaient ses « contraintes » — et c’est préci