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uelles du christianisme par des hommes ou par des
groupes
d’hommes qui ne croient plus au christianisme. L’attitude, c’est cell
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ujours faite, par des personnes et par des petits
groupes
; par quelques « fous de Dieu » comme saint François d’Assise ; par d
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ient la vocation personnelle, ou la vocation d’un
groupe
et la considèrent comme dangereuse et scandaleuse. Ces doctrines sont
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on, et qu’il n’assure à chaque homme (et à chaque
groupe
ou entité collective) la liberté de réaliser cette vocation divine, u
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rchie spirituelle. La vocation d’un homme ou d’un
groupe
est à la fois distinction et intégration. Ces deux éléments devraient
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er le plus possible chaque vocation culturelle du
groupe
(qu’il soit religieux ou national), le tout en vue de l’union (fédéra
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pense en particulier aux membres du Mouvement des
Groupes
, qui représentent à l’heure actuelle le christianisme le plus « activ
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tte d’une royauté déjà « totalitaire » contre des
groupes
, loyalistes il est vrai, mais réfractaires à certaine mise au pas. Il
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pays calvinistes, où la notion de l’autonomie des
groupes
reste vivace (Angleterre, Écosse, Suisse, Hollande). En Allemagne, la
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le un Werner Sombart, un de Man, et en France, le
groupe
de l’Ordre nouveau. (Cf. en particulier la Révolution nécessaire, par
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nds pas porter ici un jugement quelconque sur les
groupes
dits d’Oxford. Je ne les cite qu’au seul titre d’exemple topique. 42
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r contre les tabous et les conventions sacrées du
groupe
. Alors le groupe expulse le « non-conformiste ». Ce sont ces expulsés
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us et les conventions sacrées du groupe. Alors le
groupe
expulse le « non-conformiste ». Ce sont ces expulsés de divers groupe
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non-conformiste ». Ce sont ces expulsés de divers
groupes
qui fondent les premières thiases grecques, communautés comparables à
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on commencé par l’individualisme : il liquide les
groupes
existants pour mieux accomplir son unification, sa « mise au pas ». C
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mme qui se convertit et s’incorpore à l’un de ces
groupes
y trouve d’une part une activité sociale qui le relie à ses « frères
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ue l’impérialisme n’est que l’individualisme d’un
groupe
; et l’individualisme, l’impérialisme d’un homme isolé. De même que l
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l absolutise sa liberté.) Le fédéralisme part des
groupes
locaux (région, commune, entreprises, etc.) et l’œcuménisme reconnaît
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paroisses, ordres, etc.). C’est en effet dans le
groupe
local que la personne peut se réaliser. Car les tâches civiques y son
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affaire. Si l’on se trouve en opposition avec le
groupe
, on a la possibilité matérielle d’y faire entendre sa voix. Si cela n
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a voix. Si cela ne suffit pas, on peut changer de
groupe
. L’on n’est donc pas isolé, comme l’individu se trouve isolé dans une
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ne fédération l’on peut toujours adhérer à divers
groupes
, l’un religieux, l’autre social, le troisième culturel ou politique,
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lieu de pétrifier les frontières extérieures des
groupes
qui forment la fédération, il cherche à vivifier leurs foyers. Et de
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tures politiques d’une nation. J’indiquerai trois
groupes
d’exemples de cette précédence des facteurs religieux. Voilà le premi
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s d’Amérique. (La forme de « l’individualisme par
groupes
» dans ce dernier pays, étant prédéterminée par le fait — d’ordre ecc
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uménisme, qui permette de mettre en relations des
groupes
nationaux non étatiques. Ce fait simple institue pour le mouvement œc
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iste. Des auteurs isolés l’ont fait entendre. Des
groupes
d’intellectuels ont tenté de formuler certaines réponses partielles.
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sant jour et nuit sous la seule surveillance d’un
groupe
d’opérateurs, signifie simplement, partout où elle fonctionne, la sup
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nos deux utopistes prévoient l’intervention d’un
groupe
humain qui resterait à l’extérieur du processus et donnerait le coup