1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
1 uelles du christianisme par des hommes ou par des groupes d’hommes qui ne croient plus au christianisme. L’attitude, c’est cell
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
2 ujours faite, par des personnes et par des petits groupes  ; par quelques « fous de Dieu » comme saint François d’Assise ; par d
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
3 ient la vocation personnelle, ou la vocation d’un groupe et la considèrent comme dangereuse et scandaleuse. Ces doctrines sont
4 on, et qu’il n’assure à chaque homme (et à chaque groupe ou entité collective) la liberté de réaliser cette vocation divine, u
5 rchie spirituelle. La vocation d’un homme ou d’un groupe est à la fois distinction et intégration. Ces deux éléments devraient
6 er le plus possible chaque vocation culturelle du groupe (qu’il soit religieux ou national), le tout en vue de l’union (fédéra
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
7 pense en particulier aux membres du Mouvement des Groupes , qui représentent à l’heure actuelle le christianisme le plus « activ
8 tte d’une royauté déjà « totalitaire » contre des groupes , loyalistes il est vrai, mais réfractaires à certaine mise au pas. Il
9 pays calvinistes, où la notion de l’autonomie des groupes reste vivace (Angleterre, Écosse, Suisse, Hollande). En Allemagne, la
10 le un Werner Sombart, un de Man, et en France, le groupe de l’Ordre nouveau. (Cf. en particulier la Révolution nécessaire, par
11 nds pas porter ici un jugement quelconque sur les groupes dits d’Oxford. Je ne les cite qu’au seul titre d’exemple topique. 42
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
12 r contre les tabous et les conventions sacrées du groupe . Alors le groupe expulse le « non-conformiste ». Ce sont ces expulsés
13 us et les conventions sacrées du groupe. Alors le groupe expulse le « non-conformiste ». Ce sont ces expulsés de divers groupe
14 non-conformiste ». Ce sont ces expulsés de divers groupes qui fondent les premières thiases grecques, communautés comparables à
15 on commencé par l’individualisme : il liquide les groupes existants pour mieux accomplir son unification, sa « mise au pas ». C
16 mme qui se convertit et s’incorpore à l’un de ces groupes y trouve d’une part une activité sociale qui le relie à ses « frères 
17 ue l’impérialisme n’est que l’individualisme d’un groupe  ; et l’individualisme, l’impérialisme d’un homme isolé. De même que l
18 l absolutise sa liberté.) Le fédéralisme part des groupes locaux (région, commune, entreprises, etc.) et l’œcuménisme reconnaît
19 paroisses, ordres, etc.). C’est en effet dans le groupe local que la personne peut se réaliser. Car les tâches civiques y son
20 affaire. Si l’on se trouve en opposition avec le groupe , on a la possibilité matérielle d’y faire entendre sa voix. Si cela n
21 a voix. Si cela ne suffit pas, on peut changer de groupe . L’on n’est donc pas isolé, comme l’individu se trouve isolé dans une
22 ne fédération l’on peut toujours adhérer à divers groupes , l’un religieux, l’autre social, le troisième culturel ou politique,
23 lieu de pétrifier les frontières extérieures des groupes qui forment la fédération, il cherche à vivifier leurs foyers. Et de
24 tures politiques d’une nation. J’indiquerai trois groupes d’exemples de cette précédence des facteurs religieux. Voilà le premi
25 s d’Amérique. (La forme de « l’individualisme par groupes  » dans ce dernier pays, étant prédéterminée par le fait — d’ordre ecc
26 uménisme, qui permette de mettre en relations des groupes nationaux non étatiques. Ce fait simple institue pour le mouvement œc
27 iste. Des auteurs isolés l’ont fait entendre. Des groupes d’intellectuels ont tenté de formuler certaines réponses partielles.
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
28 sant jour et nuit sous la seule surveillance d’un groupe d’opérateurs, signifie simplement, partout où elle fonctionne, la sup
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
29 nos deux utopistes prévoient l’intervention d’un groupe humain qui resterait à l’extérieur du processus et donnerait le coup