1
radical dont est né, au début des années 1930, le
groupe
de l’Ordre nouveau. Si j’ai pu y attirer et y attacher des hommes aus
2
oir manifester cette liberté. Il le fera dans les
groupes
sociaux électifs, c’est-à-dire dans les groupes de communautés auxque
3
s groupes sociaux électifs, c’est-à-dire dans les
groupes
de communautés auxquels il pourra librement adhérer, communautés qui,
4
st l’unité d’habitation ou la cité-satellite. Ces
groupes
sociaux électifs sont donc définis par des idées, des préoccupations
5
la vie d’une commune comme celle de New York, qui
groupe
huit à neuf millions d’habitants, c’est de la folie pure. On a dépass
6
et de nos universités, devrait être confiée à des
groupes
de chercheurs, qui représenteraient des disciplines diverses, et qui
7
ue le mot « nation » signifiait au Moyen Âge : un
groupe
de gens parlant la même langue, par exemple les groupes d’étudiants p
8
e de gens parlant la même langue, par exemple les
groupes
d’étudiants parlant une même langue, la langue de l’université étant
9
ute jusqu’à nos jours. 27 février 1970 Le dernier
groupe
de valeurs de base de la civilisation occidentale sont les valeurs ce
10
s’agira de formuler les relations entre États ou
groupes
autonomes réunis en fédération, sans fusion ni séparation, chacun gar
11
1970 L’État-nation. Ce terme a été lancé par les
groupes
Esprit et l’Ordre nouveau pendant les années 1930 ; il est actuelleme
12
ssement de règles communes, mises au point par un
groupe
de spécialistes, d’experts. En face de cela, la conception gaullienne
13
homme, ou bien, en politique, de l’autonomie d’un
groupe
et de l’union nécessaire pour sauver cette autonomie, de la liberté e
14
st une manière d’arranger les relations entre les
groupes
, les cités, les régions et les nations, sans faire violence à leurs c
15
tion n’est pas la puissance, mais l’autonomie des
groupes
fédérés, c’est-à-dire la possibilité pour eux de s’autogouverner, de
16
u où la personne se forme en s’actualisant est le
groupe
le plus proche réunissant librement les individus : la commune, l’ent
17
pement d’unités, soit encore à des groupements de
groupes
d’unités, à l’échelle de l’État national d’aujourd’hui, puis, en cont
18
que l’on sert est un certain équilibre entre les
groupes
humains et entre l’homme et la nature, ou seulement la croissance ind
19
se une vocation des communautés, des ethnies, des
groupes
locaux, des États, des cantons, et puis en même temps leur fonction c
20
tive et sacrée. Il voudrait échapper aux liens du
groupe
, au principe de tyrannie qui est très fort dans la tribu. Mais il a a
21
eraineté est ce qui sépare le plus nettement deux
groupes
de pays européens : les pays du Centre et de l’Est, et les pays de l’
22
éments du pouvoir, à effacer le plus possible les
groupes
constitués qui sont des opposants possibles, avec qui on ne peut pas
23
qui voudraient le renverser, et d’autre part les
groupes
locaux, les diversités locales, ou régionales, ou spirituelles, qui v
24
rtés individuelles, exercées par un citoyen ou un
groupe
de citoyens, une cité ; on peut aller jusqu’à parler de libertés exer
25
ler de libertés exercées par une région ou par un
groupe
de régions ou de cités, dans le cas d’une fédération. 4 mars 1977 Il
26
nautés qui peuvent s’en charger ; l’autonomie des
groupes
fédérés, comme valeur fondamentale au lieu de la souveraineté absolue
27
ur correspondent : commune et entreprise, région,
groupe
de régions (national ou sectoriel), fédération. Et, loin de se borner
28
it qu’elles ont toutes été mal préparées. Dans le
groupe
l’Ordre nouveau, dès 1932, nous avions mis au point la théorie suivan
29
e, le module et le but final. Je m’explique : ces
groupes
étaient à la fois contre l’individualisme, contre l’individu isolé qu
30
t, lui, trop libre, engagé dans rien du tout. Ces
groupes
demandaient que l’homme, le citoyen, soit à la fois — c’est une des f