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compliquée encore et nuancée jusqu’à l’ennui. La
guerre
a donné le coup de grâce à cet esthétisme énervant qu’on appelle symb
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nchée, puis « le sport l’a saisi aux pattes de la
guerre
encore contus de huit coups de griffes et chaud de l’étreinte du fauv
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pour lui, d’une façon obsédante, le rythme de la
guerre
. Du moins a-t-il ainsi évité le choc fatal pour tant d’autres du guer
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pprentissage de la vie, est l’apprentissage de la
guerre
, dira-t-on. M. de Montherlant répondra : non, car la faiblesse est le