1 les États-Unis n’aient pas gagné tout de suite la guerre contre le petit Vietcong ? Pourquoi ? Ils n’ont pas osé utiliser tout

2 té, et qu’ils l’illustrent fort mal en faisant la guerre du Vietnam. Voilà pourquoi je pense qu’un petit pays comme la Suisse

3 le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre . C’est le culte du sol sacré de la patrie qui a engendré cet État-nat

4 -nation. Tout à fait justifiée jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, elle ne se justifierait plus en tout cas dans une Europe un

5 u comme supériorité les capitaux, la situation de guerre qui leur ont permis de mettre la bombe atomique au point dans le plus

6 économie. Cela aboutit à des monstruosités et des guerres . Mais si vous reprenez l’exemple de la Suisse, vous voyez qu’on n’y a

7 e veut strictement rien dire hors du jargon de la guerre commerciale — mais on attend d’elle, au contraire, qu’elle soit diffé

8 isme complet dans la société actuelle, où même la guerre n’est plus faite par les gens qui portent un sabre. Si l’on sort des

9 s’est opposée au fédéralisme, c’est parce que la guerre révolutionnaire, recréant entre les peuples ces frontières que niait

10 … Tant que patrie et nation seront confondues, la guerre sera fatale et la révolution impossible. Deux ans plus tard, en mai

11 trente ans après, sans être bloquée, elle, par la guerre des empires totalitaires qui fermait notre horizon, et qui n’était pa

12 i fermait notre horizon, et qui n’était pas notre guerre . À cette époque, toute une génération s’est exprimée dans le personna

13 us l’idée de combattre ce nationalisme fauteur de guerres  ; et pas seulement Hitler, mais ce qui l’avait permis, donc l’idée de

14 is pourquoi êtes-vous allé en Amérique pendant la guerre  ? À cause d’un article envoyé à la Gazette de Lausanne , une heure a

15 . Il n’y a que des différences de degré. Après la guerre , toutes les anciennes colonies se sont jetées sur ce modèle et l’ont

16 té internationale. Parce qu’il a publié, avant la guerre , L’Amour et l’Occident , ouvrage fondamental sur le plus fondamental

17 e par un ami qui est à la radio suisse. Est-ce la guerre , qu’on attend d’une heure à l’autre ? C’est Munich, c’est la paix (pe

18 s. C’était assez pour cette année. Les menaces de guerre me firent rentrer en Suisse plus tôt que prévu. C’est à ce moment que

19 e ses compatriotes, s’il a prévenu in extremis la guerre entre les cantons suisses, c’est par l’autorité que sa vie d’ascète d

20 pétition des chœurs — et ce sera la dernière : la guerre est pour demain — je me sens littéralement transporté ! Voici chanté,

21 tte notion a son origine sous Louis XIV, dans les guerres contre l’Espagne et les Allemagnes au-delà du Rhin ; elle a été mise

22 nsuite à la plupart des autres numéros jusqu’à la guerre . Quelle était votre définition de la personne ? Ce que nous appelions

23 r Honegger. Nous en avions tiré un oratorio17. La guerre m’a surpris là-bas et j’y suis resté six ans. Je ne suis rentré défin

24 les Européens qui vivaient à New York pendant la guerre étaient des gens extraordinairement différents et qui ne se seraient

25 ressortissant d’un pays neutre, j’ai pu faire la guerre , ne fût-ce que sur les ondes, en écrivant des textes d’émissions. Je

26 ez donc en Suisse. Que se passe-t-il ? Pendant la guerre , je m’étais aperçu que ma doctrine du fédéralisme était illustrée par

27 hypocrisie de l’union, plutôt que de se faire la guerre . Quel est le lien entre votre doctrine du mariage et celle du fédéral

28 liser rapidement un peuple. Pour pouvoir faire la guerre , qui est la raison fondamentale, génétique des États-nations. Malheur

29 ces ornements par l’avant-garde d’entre les deux guerres , puis à leur accumulation sur la tête des gauchistes. La culture n’es

30 ns ont pris conscience au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, joue dans le même sens : je veux parler de la crise de l’Ét

31 pays, qui proclament, vers la fin de la dernière guerre , la nécessité de « dépasser le dogme de la souveraineté absolue des É

32 te de l’État-nation non seulement la cause de nos guerres , mais l’obstacle majeur à l’union du continent, qui est le seul moyen

33 aide effective au tiers-monde, la prévention des guerres nucléaires et des catastrophes écologiques. Le seul remède aux trop p

34 par des frontières politiques nées du hasard des guerres et des traités, et qui ne correspondent plus à nulle réalité, ni ethn

35 ut que subir l’histoire faite par les autres, les guerres des autres, les compromis des autres. Mais l’Europe ne pourra jamais

36 tte notion a son origine sous Louis XIV, dans les guerres contre l’Espagne et contre les Allemagnes au-delà du Rhin ; elle a ét

37 rouve qu’un : le grand État peut faire de grandes guerres . Pour tout le reste : qualité de la vie, niveau de vie matériel, sécu

38 par des frontières politiques nées du hasard des guerres et des traités, et qui ne correspondent plus à nulle réalité, ni ethn

39 ions, frontières qui ont été fixées au hasard des guerres et des traités sur de tout autres bases que celles de l’économie actu