1 velles « occasions de travail »2 ; et qu’enfin la guerre atomique peut tout compromettre dans l’œuf. Mais l’œuf est là, portan

2 du monde. D’où succès mondial jusqu’à la dernière guerre . André Breton n’a pas cessé de chercher une vision religieuse du mond

3 ’auront plus personne sur qui tirer. D’où fin des guerres . Ce nouveau plan de paix perpétuelle est fait pour éblouir par sa log

4 s de l’Europe — sept sur vingt-six à la fin de la guerre — presque ruinées à deux reprises par leur délire nationaliste, oblig

5 able de toutes ces forces en conflit latent ou en guerre ouverte. L’Europe et sa culture résulteront de cette fusion jamais a

6 e l’Asie et de l’Afrique ? Comment échapper à ces guerres sans fin, à ces querelles théologiques et scolastiques qui se termine

7 e et le Proche-Orient au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, puis presque toute l’Afrique vers 1960. L’Europe avait comm

8 ne prétendument totale et unitaire, il en résulte guerres , révolutions, massacres, explosions d’anarchie suivies de dictatures

9 tension n’est pas trop déprimé ou dévasté par les guerres , les dictatures et les nationalismes clos, qui représentent ses court

10 t des pouvoirs locaux, apparus depuis la dernière guerre , ne livrent pas un combat d’arrière-garde contre l’État, mais au cont

11 ns du nôtre — le monument aux morts des dernières guerres  ? 7. Voir Arts n° 872. h. « L’Europe détient les secrets de l’ave

12 rigine des deux guerres mondiales. Mais ces mêmes guerres ont déclenché deux séries de réactions de sens contraire : d’une part

13 vresses du nationalisme ; d’autre part, ces mêmes guerres ont fait comprendre aux Européens qu’il était temps de juguler leurs

14 nds, qui date exactement de la fin de la dernière guerre , et au plan mondial. L’Europe se sentait écrasée entre deux colosses

15 succès devint public, au lendemain de la Première Guerre mondiale. Bien moins peut-être par le prétexte scientifique qu’y trou

16 s ne fonctionnent plus. La peste, la famine et la guerre déjà neutralisées ou en voie de l’être, restent les disciplines contr