1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
1 paraît le meilleur moyen possible de prévenir la guerre . La fédération nécessaire Sauver l’Europe signifie pratiquement
2 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
2 et à Rome, où il avait conquis au lendemain de la guerre d’importantes positions stratégiques dans les lettres, les arts et le
3 ’impérialisme de Wall Street » et le danger d’une guerre menée sur notre sol contre les Russes. (Mais l’attitude antiaméricain
4 s questions directes, occupés à se ruiner par des guerres nationales qu’on nous demande ensuite de payer, parlant de métaphysiq
5 it accusé de n’être rien qu’un « instrument de la guerre froide ». Devant l’ambiguïté d’une pareille situation, l’Américain se
3 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Conférence de compositeurs, critiques musicaux et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)
6 uropéens. De plus, les compositeurs, qui avant la guerre avaient de nombreuses occasions de se rencontrer et d’établir des con
4 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
7 grâce pour l’Europe Les Russes renonçant à la guerre , le monde entier se remet à respirer : c’est donc la preuve que le mo
8 pas que l’Amérique ni l’Europe songeaient à la «  guerre préventive ». Chacun savait d’où venait le seul danger : d’où viendra
5 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
9 notre continent ait traversée depuis la dernière guerre . Quel est le sens de l’action européenne dans cette conjoncture angoi
10 ment effacée de la carte des puissances. Quelques guerres civiles ou troubles sociaux suffisent à motiver son occupation par l’
6 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
11 tre empire ; qui n’est pas en état de déclarer la guerre ou de conclure la paix isolément ; et qui ne peut plus rêver de vivre
7 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
12 autres Européens, nous vivons, depuis la dernière guerre , dans la peur des Russes et de la charité des Américains. » Je tradui
8 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
13 ment dans l’atmosphère de mars 1954. Le danger de guerre a diminué dans l’immédiat. La nécessité d’une entente étroite entre n
14 elle ne peut plus apparaître comme une machine de guerre  ; qu’elle serait soutenue même par ceux qui ne désirent pas y partici
15 e-Bretagne et les États-Unis, sur l’imbroglio des guerres locales d’Extrême-Orient, afin de nous détourner du problème préalabl
9 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux notes sur la souveraineté nationale (mai 1954)
16 eur, c’est-à-dire qui soit capable de déclarer la guerre ou de conclure la paix comme il l’entend, d’assurer sa prospérité san
10 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
17 onaux à l’égard des voisins, hérités de plusieurs guerres , ou inculqués par l’enseignement à tous les degrés, depuis un siècle.
18 ill pouvait dire prophétiquement, au milieu de la guerre  : « The empires of the future are the empires of the mind. » L’empir
11 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
19 sques de la paix Mettant fin aux chances de la guerre , la bombe H nous rejette aux risques de la paix. La détente n’a pas d
20 — il ne peut plus y avoir ce que l’on nommait une guerre , mais simplement une espèce de court-circuit mondial, brûlant tout, l
21 deux pôles et l’entre-deux. Si le contraire de la guerre était la paix, le contraire de ce court-circuit, c’est la détente. La
12 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
22 s » qui constituerait une « libre » propagande de guerre ou bien une propagande pour une attaque atomique remplie de haine à l
13 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
23 agande subversive, l’impérialisme, le racisme, la guerre atomique ou la haine entre les peuples ». Sujets : À titre d’exemple
24 sociaux » (Molotov). On retomberait alors dans la guerre froide, qui est la guerre tout court sur le plan de la culture. Nous
25 tomberait alors dans la guerre froide, qui est la guerre tout court sur le plan de la culture. Nous avons toutes les raisons d
14 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
26 ations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)z L’ancienne Russie (de 862 à 1700) P
27 e étape, dès l’aube du xix e siècle. Du fait des guerres napoléoniennes, la Russie va se trouver aux prises directes avec l’Oc
28 llement. Enfin on ouvrait un journal : c’était la guerre . 13. Les Varègues, guerriers-marchands scandinaves, étaient appel
29 ations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) », Bulletin du Centre européen de la culture : « Europe-URSS
15 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Prix européen de littérature : guildes et clubs du livre (août-septembre 1956)
30 ises, qui se sont rapidement développées après la guerre , ont réussi à créer un très vaste public de lecteurs nouveaux, en leu
16 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
31 devons faire l’Europe, non plus pour empêcher des guerres entre nos peuples — car elles sont devenues pratiquement impensables
17 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aux racines de l’Europe de demain (avril 1957)
32 défaites européennes : la Première et la Seconde Guerre mondiale, sont nées dans nos manuels d’histoire ? Car le nationalisme
18 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
33 la Suède et le Portugal) ont été dévastés par la guerre et les révolutions, la Suisse se retrouve en 1945 moralement et physi
34 s. L’agriculture, fortement développée pendant la guerre , ne peut se soutenir qu’avec l’aide de subventions de l’État. Ainsi l
35 i ses voisins ne se relèvent pas des ruines de la guerre . 2. L’Europe détrônée et divisée Les deux guerres de 1914 et de
36 e. 2. L’Europe détrônée et divisée Les deux guerres de 1914 et de 1939 ont mis fin à la puissance mondiale de l’Europe, q
37 l’union sont d’une part, d’empêcher le retour de guerres entre les États européens, d’autre part, d’unir les forces du contine
38 ables. Résumé 1. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la Suisse est le seul pays intact au centre de l’Europe. El
39 t être compromise par la crise européenne. 2. Les guerres de 1914-1918 et 1939-1945 ont ruiné le prestige de l’Europe dans le m
40 aux de la fédération proposée sont d’empêcher les guerres en Europe, et de former un ensemble prospère et indépendant groupant
41 ays européens ont-ils été épargnés par la Seconde Guerre mondiale ? 2. Quels dangers menacent notre prospérité ? 3. Quelles on
19 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
42 nt ont entrepris, dès le lendemain de la dernière guerre , de rallier à la cause européenne les forces vives de la culture, et
43 14, mais perdant cette royauté à la suite de deux guerres provoquées par ses propres nationalismes. — Le nationalisme s’opposa
20 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
44 nnent les slogans à tout faire des propagandes de guerre en 1914.) Pour nous, qui ne sommes d’aucun parti nationaliste, s’il f
21 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
45 ies d’une action beaucoup plus importante, que la guerre de 1914 va rendre possible. Amitié avec Joseph Conrad Au cours
46 sur Conrad : « Je n’ai pas revu cet ami depuis la guerre (de 14-18) et je ne puis retrouver son adresse. » (Lira-t-il peut-êtr
47 ce retour au passé, le jour même où éclatait une guerre « qui cachait dans son sein la réalisation des rêves toujours frustré
48 notre pays ». Aventures à travers l’Europe en guerre Impossible de rentrer tous en groupe à Londres, à travers tant de
49 . Problème urgent : comment quitter l’Autriche en guerre , avec un passeport autrichien ? L’archevêque le recommande au chef de
50 re pour se rendre à Vienne, où le ministère de la Guerre lui accordera un visa de sortie. Le permis porte le numéro un, « ce q
51 t voir son passeport signé par le ministère de la Guerre et l’ambassadeur d’Allemagne, et demande qu’on lui réserve un sleepin
52 litique, voire militaire, dans la poursuite de la guerre . Le grand argument que Retinger va faire valoir est que deux millions
53 s de la dictature de Pilsudski. Durant la Seconde Guerre , J.H.R. siégera au congrès international des syndicats, à la fois com
54 t « trop théorique ». Enfin, peu avant la Seconde Guerre , Retinger se lie avec Sir Stafford et Lady Cripps, et tous les trois
55 it et d’un désintéressement presque provocant… La guerre de 1939 va lui permettre enfin de sortir de cette période de bohème p
56 es, ne devînt pas un obstacle à la conduite d’une guerre commune contre Hitler. Partageant les idées de Retinger, le général S
57 l Sikorski se trouvait prêt à intervenir quand la guerre hitléro-soviétique éclata. Dès le 23 juin, il prononçait à la radio u
58 mme d’État scandinave, je trouve ceci : Après la guerre , je réussis à obtenir du gouverneur britannique quelques-unes des den
59 uir plus tard en Autriche. Pour l’Europe La guerre finie, l’indépendance polonaise reconquise sur les Allemands mais pre
60 les perspectives d’une union de l’Europe après la guerre . Sikorski et Benès allèrent jusqu’à conclure un accord prévoyant que
61 te suspects aux hommes politiques formés avant la guerre . Ceux qui admettaient la nécessité non d’une fédération réelle, mais
22 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
62 ptions, que les ouvrages parus depuis la dernière guerre . Le critère adopté pour établir cette liste est des plus simples : on
23 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stage d’Oosterbeek (septembre 1964)
63 s, fatalement, et les obligent donc à se faire la guerre , alors qu’on peut aussi bien dire qu’ils unissent et relient ces même
24 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
64 a résistance à l’hitlérisme dans tous les pays en guerre — y compris l’Allemagne — se réunirent en petits colloques, puis en c
65 affirmer leur volonté d’empêcher le retour de nos guerres nationales, c’est-à-dire de nos guerres civiles européennes. Le motif
66 ur de nos guerres nationales, c’est-à-dire de nos guerres civiles européennes. Le motif dominant de l’union était alors de rend
67 ion était alors de rendre impossible une nouvelle guerre franco-allemande : le discours de Churchill à Zurich, en 1946, le dit
68 rité, sinon chacun s’enferme en soi — ou c’est la guerre . Or d’une part nous ne pouvons plus nous enfermer, il est trop tard,
69  ; d’autre part nous savons aujourd’hui qu’aucune guerre ne peut être gagnée, et qu’elles sont toutes perdues par toute l’huma
25 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
70 te conception n’est pas seulement responsable des guerres absurdes, justifiées aux yeux des masses par le chauvinisme culturel
26 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
71 faire de plus. On l’a bien vu lors de la première guerre de Suez… (Droits de faire la guerre ou la paix réduits à rien par les
72 e la première guerre de Suez… (Droits de faire la guerre ou la paix réduits à rien par les deux Grands.) 2° Derrière l’agitati
73 ongrès fédéralistes, aux lendemains de la Seconde Guerre mondiale. Du moins, cette fédération de régions « immédiates à l’Euro
74 é, irritabilité, résultant du souvenir de tant de guerres récentes, de cent ans de propagande des nationalismes, et de cette re
75 Européens. Nous pensions tous, au lendemain de la guerre , dans l’enthousiasme des congrès qui lancèrent le mouvement européen
27 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
76 ieur d’un territoire délimité par les hasards des guerres et les mesures des arpenteurs sur le terrain. — Tout ce qui relève du
77 rs des siècles de l’histoire moderne, ce sont les guerres qui ont servi de prétexte à ces concentrations forcées, c’est leur pr
28 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
78 ter : Il faut faire l’Europe, ou il faut faire la guerre  ! Aujourd’hui, il faut faire une révolution si l’on veut « faire l’Eu
79 révolution si l’on veut « faire l’Europe, non la guerre  ». Il faut défaire et dépasser l’État-nation, fauteur de guerre, et s
80 aut défaire et dépasser l’État-nation, fauteur de guerre , et seul obstacle à l’union de l’Europe comme à la participation des
81 . Le totalitarisme est simple et rigide, comme la guerre , comme la mort. Le fédéralisme est complexe et souple, comme la paix,
29 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
82 s médias. Langues. En Alsace, après la fin de la guerre et de l’occupation nazie, l’enseignement de l’allemand, langue matern
83 rich peut écrire que depuis la fin de la dernière guerre « l’enseignement de l’allemand en Alsace a été organisé de façon à êt
84 la presse des capitales, lorsqu’on y prépare une guerre ou qu’on la fait. Tout se passe comme si les gouvernements comptaient
30 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
85 allait faire l’Europe pour empêcher le retour des guerres entre nos soi-disant « grandes puissances ». La CECA puis la CEE ont
86 ns industriels — et voilà la principale cause des guerres européennes, depuis deux siècles, éliminée. Mais ce premier succès ne
87 eurs et de leurs conflits. Elle est née aussi des guerres dans lesquelles nous avons entraîné toute la planète, et ces guerres
88 lles nous avons entraîné toute la planète, et ces guerres sont nées de nos nationalismes, et c’est à nous, Européens, qu’il rev
89 nion n’est plus qu’un mythe. On l’a vu lors de la guerre de Suez : un froncement de sourcils du président américain et un grog
90 la France et de la Grande-Bretagne à stopper leur guerre , c’est-à-dire à rendre manifeste le fait que leurs pays n’étaient plu
91 aide effective au tiers-monde, la prévention des guerres nucléaires et des catastrophes écologiques. Le seul remède aux trop p
92 par des frontières politiques nées du hasard des guerres et des traités, et qui ne correspondent plus à nulle réalité ni ethni
93 ntes d’un passé de chicanes, d’inefficacité et de guerres . En revanche, si plusieurs régions choisissent de conserver ou de ren
94 limités depuis le xixe siècle par les jeux de la guerre ou de la politique. Toute l’écologie est à refaire sur la base des ré
31 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
95 reil étatique — formule qui ne peut mener qu’à la guerre totale et aux régimes totalitaires, comme vont le confirmer les événe
32 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
96 e heure à l’autre par décret de Paris, ou par une guerre ), mais tout autant ou davantage l’enseignement et la formation profes
97 aphiques », mais établies en fait aux hasards des guerres passées et en vue de guerres à venir. Les États-nations ne peuvent él
98 fait aux hasards des guerres passées et en vue de guerres à venir. Les États-nations ne peuvent éluder leur responsabilité aprè
99 t le plus grand est l’unité centralisée, né de la guerre et préparant à la guerre, uniquement et absolument, car à tout autre
100 té centralisée, né de la guerre et préparant à la guerre , uniquement et absolument, car à tout autre égard il est absurde. Né
101 nt, car à tout autre égard il est absurde. Né des guerres de la Révolution française et constitué d’une manière exemplaire par
102 manière exemplaire par Napoléon, dans et pour la guerre , l’État-nation et sa morale, qui est le nationalisme totalitaire, a p
103 le nationalisme totalitaire, a provoqué les deux guerres européennes, devenues mondiales. Ces guerres ont ruiné le prestige de
104 deux guerres européennes, devenues mondiales. Ces guerres ont ruiné le prestige de l’Europe politique (d’où la décolonisation o
105 l’on ne veut pas aller irréversiblement vers une guerre atomique. Et pour cela, il ne faut pas de bazookas et de plastic. Il
33 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
106 futurologie scientifique appelle une économie de guerre De fait, les prévisions les plus exactes — voire seules à l’être —
107 terme : toute la technologie actuelle vient de la guerre et y conduit. Elle répond aux défis de la « dernière », et en appelle
108 fonctionnaire anonyme de penser mal. En temps de guerre , plus de résistance du milieu, plus de gêneurs moralisants ou philant
109 re en compte. Le seul problème étant de gagner la guerre à n’importe quel prix financier ou humain, rien ne vient brouiller le
110 devant l’État. D’où l’on déduit que l’économie de guerre , qui est le modèle de toutes nos prévisions et leur idéal inconscient
111 on de la prospective scientifique et de l’état de guerre ne peut manquer de jouer le rôle d’une sorte de propagande clandestin
112 révisionnels. L’État totalitaire, c’est l’état de guerre en permanence, et toute technocratie nous y conduit aussi sûrement qu
113 ansion à outrance, je veux parler de la menace de guerre . Elle est de nature à modifier tous nos paramètres : c’est en son nom
114 te liste les cinq événements suivants : Première Guerre mondiale. Les USA deviennent la première puissance mondiale. Montée d
34 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Quand même il serait seul… (Sur un texte de George Orwell) (automne 1975)
115 er. Il écrivait en 1939, aux premiers jours de la guerre , un texte sur lequel le journal brésilien O Estado de São Paolo a eu
116 ma réponse. Texte de George Orwell Une nouvelle guerre européenne a éclaté. Il se peut qu’elle dure plusieurs années et mett
117 rmine d’une manière indécise et prépare une autre guerre qui réglerait l’affaire une fois pour toutes. Mais la guerre n’est qu
118 réglerait l’affaire une fois pour toutes. Mais la guerre n’est que « la paix intensifiée ». Guerre ou pas guerre, il est bien
119 Mais la guerre n’est que « la paix intensifiée ». Guerre ou pas guerre, il est bien évident que ce qui est en train d’arriver,
120 n’est que « la paix intensifiée ». Guerre ou pas guerre , il est bien évident que ce qui est en train d’arriver, c’est l’effon
35 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
121 ur la vogue de l’art nègre, dès avant la Première Guerre mondiale. Les Demoiselles d’Avignon de Picasso en témoignent à la man
122 s. Il est donc fatal, dans ces conditions, qu’une guerre atomique, même si aucun État ne la souhaite, éclate « par accident »
123 formule stato-nationale, ni par suite, comment la guerre atomique pourrait être évitée. C’est en Europe et non ailleurs que le