1
nte aventure. Les épisodes s’appellent : collège,
guerre
, sport… la Relève du Matin, le Songe, les Olympiques. Et voici le Cha
2
Olympiques. Et voici le Chant funèbre, adieu à la
guerre
et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles conquêtes. Terriblemen
3
tte absence de haine ; cette épouvante, devant la
guerre
… proviennent de plus d’humanité ou de moins de santé ». À maintes rep
4
qu’il appelle, c’est autre chose que l’absence de
guerre
, c’est une paix que travaillerait le levain des vertus guerrières. «
5
st entré de plain-pied, en même temps que dans la
guerre
. Que de sacrifices ne lui devra-t-il pas offrir ainsi les romans « in
6
quement à cet épuisant et forcené gaspillage : la
guerre
. Certains s’en tiennent à leur dégoût et l’exploitent. Ainsi se légit
7
, Marcel Arland, — plus jeune, il n’a pas fait la
guerre
— c’est le même désenchantement précoce, sans la brusquerie de ses aî
8
ril 1926)q Un artiste de grand talent à qui la
guerre
a fait perdre le goût des théories d’écoles et de quelques autres pla
9
d’un traité de paix. Entre moi et vous, c’est la
guerre
. » Voilà pour les critiques, « punaises glabres et poux barbus », qui
10
peu ironique des cours d’Europe à la veille de la
guerre
. De cette espèce de collaboration résultent à la fois le défaut de co
11
titulé Les Chants de Maldoror. De 1870 jusqu’à la
guerre
son influence fut « quasi nulle », et peut-être va-t-il rentrer dans
12
e la Hongrie, on m’expliquera que je suis pour la
guerre
, puisque enfin cet état d’esprit que j’admire est, entre autres, bell