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ivité de cet espion anglais qui parvint durant la
guerre
à diriger le service de contre-espionnage allemand chargé de sa filat
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nte de Perken, qui est tombé sur les « pointes de
guerre
» empoisonnées des Moïs, est un morceau admirable et atroce où éclate
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l’on eût difficilement prévue au lendemain de la
guerre
, c’est sur la notion — et la pratique — du service nécessaire que se
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, leur travail, leur chômage, leurs vacances, les
guerres
, les grèves, les pourritures de leurs parlements et l’insolence des p
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tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la
guerre
, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
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x, la préparation des esprits qui prélude à toute
guerre
moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
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soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la
guerre
, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
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? Certes, et c’est cela que nous voyons depuis la
guerre
. On pourrait aussi supposer que la leçon des catastrophes dictatorial
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s, anciens officiers et sous-officiers pendant la
guerre
, s’embarquent pour l’Amérique du Sud. On les a engagés pour instruire
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par d’énormes cimes neigeuses. Le ministre de la
Guerre
, un métis assez suspect, les paye mais ne leur donne rien à faire ; f
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r dire le mot de ce destin. « Nous avons perdu la
guerre
, Bell, et dans la situation où nous sommes, nous ne pouvons plus nous
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ps. Ce destin qui obligeait l’Allemagne, après la
guerre
, à vivre dans un état de guerre encore plus cruel qu’auparavant, et q
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lemagne, après la guerre, à vivre dans un état de
guerre
encore plus cruel qu’auparavant, et qui en faisait un pays pauvre, ab
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ir le coup, malgré les trahisons du sort. Mais la
guerre
, mais la politique surtout, sont en train d’ébranler leur prestige. L
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t, qui, cinquante ans avant Nietzsche, partait en
guerre
contre la philosophie de l’Évolution selon Hegel, et dénonçait en ell
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ion plus ou moins rationnelle entre les règnes en
guerre
ouverte du Dieu de la foi et du Prince de ce monde ; nécessité du tém
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ses « encycliques » improvisées à la veille de la
guerre
. Qu’il soit encore très loin d’une vision dynamique de l’action imméd
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olitique et économique, résultent pratiquement la
guerre
et la révolution. Du conflit moral résultent la tyrannie et l’anarchi
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isme exclut de même l’impérialisme, générateur de
guerres
, et le régionalisme borné et égoïste. (Remarquons d’ailleurs que l’im
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s les deux camps. Le totalitarisme est un état de
guerre
, qui ne peut subsister normalement. Il ne reste donc à prévoir qu’un
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pulvérisées. Le rôle de Churchill est de faire la
guerre
. Mais il ne pourra pas la gagner réellement s’il ne propose rien aux
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rôle de Staline, il paraît être de profiter de la
guerre
des autres pour consolider l’autarcie russe… Cette carence générale d
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à Histoire, et qui n’ont pas trouvé mieux que la
guerre
pour résoudre leurs différends, on ne voit pas ce qui pourrait justif
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e nous chantions. Quelques semaines plus tard, la
guerre
du Kippour fournissait un prétexte à la « crise du pétrole », m’oblig
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r des bords contre le vent de l’Histoire et de la
guerre
: formule de nos efforts actuels et prochains. Et peu m’importe de pr
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d’exercer sa vocation ; du même coup, prévenir la
guerre
nucléaire (les unités de base simplement n’atteignant pas la masse cr