1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 incantes. Ces causes sont, de toute évidence : la guerre , le traité de Versailles, la grande misère de l’inflation et du chôma
2 e l’on aime et de chères croyances… Mais quoi, la guerre présente nous rappelle au sérieux. Et ce n’est pas ma faute, ni celle
2 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « À cette heure où Paris… » (17 juin 1940)
3 qui fait la valeur de la vie. Je songe au chef de guerre qui traverse aujourd’hui ces rues les plus émouvantes du monde : Il n
3 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
4 nsais alors regagner la Suisse, quand l’entrée en guerre des États-Unis me bloqua sur place. J’avais constaté que les conféren
5 françaises d’édition s’y sont fondées pendant la guerre . J’ajoute que l’École des hautes études a lancé une revue, Renaissanc
6 passé au ministère américain de l’information de guerre , où j’étais chargé de l’émission « La voix de l’Amérique parle aux Fr
7 armées de masse sont devenues inutiles et que la guerre militaire est morte, et qu’un gouvernement mondial est devenu possibl
4 1947, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (5 décembre 1947)
8 errier. Mais voilà !… les Américains ont gagné la guerre . La Suisse subsiste, intacte et libre. On n’a pas fusillé Oltramare,
5 1953, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « Ce qu’ils pensent de Noël… » [Réponse] (24 décembre 1953)
9 des grèves, et de la famine européenne, et de la guerre endémique dans tout l’Orient, et de la méfiance et de la peur récipro
6 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
10 éation à Mézière, puis Nicolas de Flüe pendant la guerre à New York.) Une proportion considérable des écrivains et des artiste
11 mour et l’Occident donnera une conférence sur La guerre totale et les valeurs occidentales. Sous les auspices des Americans f
12 is rouges et morts. » Ils ont parlé surtout de la guerre froide et de la Bombe, et très peu des valeurs occidentales. Je vois
13 ient-elle pas aux Soviets ? Car s’ils décident la guerre , a) ils sont victorieux et ils établissent le communisme mondial ; b)
7 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
14 e avoir beaucoup changé… Les années 1930, puis la guerre , n’ont-elles pas porté au romantisme, donc à l’amour-passion, un coup
8 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). André Breton à New York (8-9 octobre 1966)
15 André Breton à New York (8-9 octobre 1966)v La guerre , l’exil américain, ses violentes dérives intimes, cette longue aliéna
9 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
16 rovisés de la naissante Agence des prisonniers de guerre , et de l’évocation d’une adolescence parisienne à celle d’une inénarr
17 ement. La création de l’Agence des prisonniers de guerre , dès l’automne de 1914. Notre cycliste volontaire rappelé à Genève pa
18 maine en semaine, sans reflux. (Durant la Seconde Guerre mondiale, il y aura certains jours où l’Agence recevra 40 000 documen
10 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
19 , qu’on allait à des catastrophes, notamment à la guerre  : faire la révolution, pour nous, signifiait refaire un ordre, là où
20 s, signifiait refaire un ordre, là où menaçait la guerre , qui résume toutes les injustices. Nous étions frappés par l’anarchie
11 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Vers l’Europe des régions [Entretien]
21 ons [Entretien]ac Rentrant d’Amérique après la guerre , j’avais compris qu’il était indispensable d’unir les Européens. Non
22 sabilité de l’Europe s’oppose aux racismes et aux guerres d’extermination de races. Les problèmes les plus importants sont à la
12 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
23 le modèle, intégralement centralisé en vue de la guerre . C’est ce modèle que tous les peuples de l’Europe, grands et petits,
24 er sur un même territoire, défini par le sort des guerres et aussitôt baptisé « sol sacré de la patrie », des réalités absolume
25 re imposé à tous nos peuples qu’à la faveur d’une guerre générale — selon la loi de l’État-nation dès ses débuts. Il s’agit do
26 ndant, c’est un sens de la vie, maintenant que la guerre n’est plus leur exutoire, l’alibi des raisons de vivre inexistantes.
13 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
27 train de se former par écrit : vote des femmes ou guerre du Vietnam, par exemple, mais pas l’Europe, puisque l’Europe est une
14 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
28 e, et que sa généralisation ne conduirait qu’à la guerre , autant il apparaît que la formule suisse, c’est-à-dire le fédéralism
15 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
29 lement mal, parce qu’elle est mal traduite : « La guerre est la mère de toute chose. » Plutôt que « guerre » il faudrait dire
30 guerre est la mère de toute chose. » Plutôt que «  guerre  » il faudrait dire « conflit ». À quoi je préfère encore le mot « ten