1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 la terre, les maladies, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’angoisse autou
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 s ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de guerre et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une sombre joie :
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
3 ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la guerre , ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
4 « ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la guerre proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pourq
5 d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la guerre soit, comme l’écrit Lefebvre, la seule « chance » des capitalistes. I
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
6 issance contre les menaces réelles, — qui sont la guerre et l’étatisme totalitaire. C’est très simple. Trop simple, sans doute
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
7 s dire, avec E. R. Curtius, d’une « propagande de guerre  » qu’on aimait à croire périmée. M. Chuzeville a eu le tort de vouloi
6 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
8 les pacifistes pour oser réclamer ouvertement la guerre (contre les régimes fascistes). « Orgueil patriotique » — c’est de no
7 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
9 r vingt ans. Nous n’avons pas plus de cinq ans de guerre chaque vingt ans, et cette guerre, en outre, nous met en arrière de 1
10 de cinq ans de guerre chaque vingt ans, et cette guerre , en outre, nous met en arrière de 1 milliard au moins. Voilà donc 3 m
11 proprement « couper l’herbe sous les pieds » à la guerre . Mais le geste du capitaliste, qui eût été la plus belle farce de l’H
8 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
12 es drakkars norvégiens, les flottes anglaises des guerres de religion et les expéditions de saumoniers. Une période héroïque so
13 L’esprit fort et l’esprit de clocher se font une guerre acharnée dans ces pages et ils l’emportent tour à tour, jusqu’à la sy
14 , pour me faire pardonner. Pédenaud est mutilé de guerre . Il boite. On lui a donné cette recette auxiliaire à titre de dédomma
9 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
15 voit arrêté à Paris dès les premiers jours de la guerre . On l’envoie dans un camp à Perpignan. De là au « monastère noir », l
16 isant lire. Et vous ferez quelque chose contre la guerre , ne fût-ce que de la connaître mieux. Peut-être même prendrez-vous co
17 concerne chacun de nous, et dont l’internement de guerre n’est qu’une conséquence entre mille, d’une virulence particulière, m
18 r X… ». Ni raisons ni points de repère : c’est la guerre . C’est un mot sacré. C’est quelque chose qui se passe très loin, part
19 e que l’obscure certitude, angoissante, que cette guerre « se fait toute seule », que rien ne dépend plus de personnes respons
10 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
20 , la « libération » violente de la proie désirée ( guerre limitée). 5. Quelle fut la réaction de l’Europe ? — L’opinion démocra
21 ltérieurs (colonisation intra-européenne, état de guerre non déclarée), pour surprenants et monstrueux qu’ils soient apparus e
11 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
22 sans doute. Combien de fois l’ai-je revu après la guerre  ? Souvent, en somme, et dans les lieux les plus divers, « Au Vaneau »