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tte équivoque, sans doute pensa-t-elle jusqu’à la
guerre
pouvoir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle risque cependan
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erreurs qui, depuis vingt, ans, nous ont valu la
guerre
, le chômage et les dictatures ? Nous trouvons une certaine attitude h
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eurs décisifs de l’inflation, du chômage et de la
guerre
moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes natur
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on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la
guerre
. Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
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s à dénoncer et à combattre les instruments de la
guerre
menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
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agents les plus puissants qui travaillent pour la
guerre
. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
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soutenir que le régime est organiquement lié à la
guerre
, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
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gime est organiquement lié à la guerre, et que la
guerre
est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
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réelle, comme il était, en régime capitaliste, la
guerre
du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
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la fraternité. Capital, police, lutte de classes,
guerre
. Primauté du paraître sur l’être. ⁂ Définitions. — La personne, c’es
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es de solitude à Paris, puis en Suisse pendant la
guerre
. Elles préparent aussi le retour de Lénine en Russie, au début de 191
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lliser un désordre. C’est croire que l’absence de
guerre
suffit à établir une paix vivante. C’est l’éternelle erreur de l’État
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aiser leur conflit. Si l’on rappelle en outre les
guerres
du Languedoc entre Rohan et Richelieu — dernières luttes du fédéralis
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le nom de liberté, la dictature, l’étatisme et la
guerre
. La guerre et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction
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iberté, la dictature, l’étatisme et la guerre. La
guerre
et l’antimilitarisme. La guerre à Hitler et la destruction de l’armée
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et la guerre. La guerre et l’antimilitarisme. La
guerre
à Hitler et la destruction de l’armée française. Car, si nous compren
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d’hommes qui savent ce qu’ils ne veulent pas : la
guerre
, l’anarchie capitaliste, la dictature, le Comité des forges, la diplo
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urons, ces défilés farouches — tout cela signifie
guerre
en français. Il n’y a rien à faire contre ce jugement. Je vous le dis
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possible : c’est que ces types se préparent à la
guerre
. Lui. — Je vous répète que ce n’est là, tout simplement, qu’un goût
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goût que nous avons, cela n’a rien à voir avec la
guerre
, la guerre contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allema
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us avons, cela n’a rien à voir avec la guerre, la
guerre
contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allemands ont aim
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: « La lutte contre la faim et le froid est notre
guerre
. » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les autres peuples en
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par là : « Les autres peuples en sont encore à la
guerre
armée, nous, nous luttons pour édifier un monde sans misère : voilà n
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s pour édifier un monde sans misère : voilà notre
guerre
! » En somme, si le mot n’était pas interdit, je dirais que c’est de
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s pourquoi faut-il que votre paix soit encore une
guerre
? Ne pouvez-vous vraiment enthousiasmer vos concitoyens qu’en les app
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ousiasmer vos concitoyens qu’en les appelant à la
guerre
, même si c’est pour la paix ? Voyez la différence : quand Briand voul
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raît bien plus urgent que d’aller faire la petite
guerre
dans les bois de Meudon. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien
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versaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la
guerre
. Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vraiment dange
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ilité34. À quoi cela vous mènera-t-il, sinon à la
guerre
? Lui. — Peut-être qu’il faut cela… Moi. — Vous ne le disiez pas to
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e, c’est bien plutôt son idéalisme lamentable. La
guerre
actuelle n’est pas du tout un appel à la virilité. Nous ne sommes plu
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s de Frédéric le Grand et du maréchal de Saxe. La
guerre
actuelle n’est pas une éducation de la violence physique, c’est une m
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ts humains. Mais il y a d’autres solutions que la
guerre
. Faire valoir toutes les différences, tous les contrastes, à l’extrêm
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umaine, l’exaltation des différences aboutit à la
guerre
, forcément. Moi. — Dans votre optique, oui ! Parce que vous placez t
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bien que nous n’avons aucune raison de vouloir la
guerre
contre la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je vous le demande ? M
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gime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la
guerre
en soi. Quelle solution donnez-vous à cette question de l’utilisation
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cures, brutales, de l’homme ? La préparation à la
guerre
. Et quand je vous dis que c’est un danger européen, vous le niez, ave
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s la transposer sur un plan autre que celui de la
guerre
moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution, étant don
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que celui de la guerre moderne. Nous nions que la
guerre
soit jamais une solution, étant donnés ses instruments actuels. Nous
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donnés ses instruments actuels. Nous voulons une
guerre
créatrice, et non pas destructrice. Tout l’effort de la civilisation
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. Avec lui, 6 académiciens ont été élus avant la
guerre
(suivent les noms). Depuis 1930, l’Académie a élu 13 membres nouveaux
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moins que ceux de Sorel. Jusqu’au lendemain de la
guerre
, il était difficile de mettre en doute la sincérité de son attachemen
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ées d’une révolution de masses, donc d’un état de
guerre
, l’étatisme a pu — et même dû — devenir du premier coup totalitaire.
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sées sont en effet les conditions qu’impose toute
guerre
moderne, civile ou étrangère. Ainsi les dictatures, décriées par les
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rales du pays. Ils ont tiré la grande leçon de la
guerre
: pour réussir à concentrer l’économie entre les mains de l’État, il
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ue la condition indispensable d’une discipline de
guerre
. Il n’a pas vu que cette même structure était la cause de la stérilit
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aix européenne. Car il est clair que la menace de
guerre
se confond actuellement avec le fait totalitaire. C’est pourquoi, pré
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re. Tant qu’on n’a pas détruit cette racine de la
guerre
, on ne peut empêcher le pire, qui devient dès lors fatalité. Le jacob
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abstrait — en temps de paix — que pour devenir la
guerre
concrète. Tout cela ne se justifie que par la guerre. Hors de toute v
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rre concrète. Tout cela ne se justifie que par la
guerre
. Hors de toute volonté humaine, bonne ou mauvaise. Alors, qui osera d
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op tard ? Désespérer de la paix, c’est rendre une
guerre
fatale. Désespérer de la révolution française, c’est désespérer de la
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sément parce qu’il est trop tard pour empêcher la
guerre
par tout autre moyen, que nous devons faire cette révolution-là. 57
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ns ici même : l’État totalitaire, c’est l’état de
guerre
, nous pouvons affirmer qu’une idéologie née du seul combat (Mein Kamp
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e, quitte parfois son domaine pour aller faire la
guerre
. Pendant son absence, ses moissons sont abîmées, l’herbe folle envahi
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ne fois de plus, la logique capitaliste mène à la
guerre
. La vente des privilèges et offices étant, avec l’emprunt, la grande
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es de production et de consommation.) Et c’est la
guerre
de 1914. Cet inévitable conflit ne résout rien, bien au contraire. Il
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de banques et des trusts dans le financement des
guerres
modernes et l’armement des deux adversaires simultanément. D’autres q
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a paix, et, de plus, il a l’avantage de sauver la
guerre
en même temps. La Russie envoie du matériel, des techniciens et un am
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chniciens et un ambassadeur chargé de conduire la
guerre
; moyennant quoi, elle entre dans le comité de non-intervention. Elle
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ratique lui aussi la non-abstention qui permet la
guerre
, mais avec un sens de la mesure tout à fait traditionnel. C’est qu’il
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par la non-intervention au 1er janvier 1937 : la
guerre
continue en Espagne, les deux camps restent sur leurs positions. Tro
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aix, de la paix à tout prix, fût-ce au prix de la
guerre
chez les autres. Maurras affirme que « la paix est le chef-d’œuvre de
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maquignons. Leur paix ne vaut pas mieux que leur
guerre
. Entre l’équilibre d’intérêts ( ?) économiques et de prestiges idéolo
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ix, et l’équilibre des mêmes éléments qu’est leur
guerre
, il n’y a que la différence de la lâcheté calculatrice à la panique d