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jusque dans la presse1 ! « Je n’ai pas cherché la
guerre
, moi ! Eh bien ! je saurai me défendre ! Et malgré les persécutions d
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qui ont trahi. Capitalisme, bourgeoisie égoïste,
guerre
. Mais le vrai chrétien est avec les petits. Résumé de ce que la Bible
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hrétiens, il n’y aurait plus d’exploitation ni de
guerre
!… La péroraison a été éloquente, un peu trop à mon goût. On applaudi
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en qu’un maire avait proposé la réforme, avant la
guerre
. Mais cela n’a pas marché. La tradition de l’île veut que chaque cham
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’est dissous quand les hommes sont partis pour la
guerre
, et rien ne s’est refait depuis. Quand on veut danser, on fait venir
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de notre île. À noter et à souligner : seules les
guerres
de religion ont tiré de l’héroïsme de ce peuple. Mais combien se fera
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de rêves a submergé notre littérature, depuis la
guerre
; et voici que renaît, d’une manière bien frappante, l’intérêt de bea
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ès le début, que les Allemands n’ont pas perdu la
guerre
) doit résulter un sentiment de manque d’assurance nationale. La vraie
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e d’expansion indéfinie, mais aussi le goût de la
guerre
(préfiguration de la mort, toujours rêvée par les grands passionnés),
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les plus grandes filatures du monde avant l’autre
guerre
, j’entends pour la longueur des bâtiments. » (Il est peu de villes am
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club de golf. Si les affaires vont bien, après la
guerre
, j’espère m’acheter de nouveau un petit avion. Ce sera plus commode p
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nnées qui en déterminent exactement l’urgence. La
guerre
a eu pour conséquences principales, d’une part, l’affaissement de l’E
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e la paix ou de s’assurer des bases pour faire la
guerre
, mais il reste évident que si les deux Grands continuent à se déclare
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as réglée, fournissant un prétexte permanent à la
guerre
entre les deux Grands ; 3° rien ne pourra s’opposer à cette guerre, d
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deux Grands ; 3° rien ne pourra s’opposer à cette
guerre
, dont quel que soit le vainqueur — s’il en est un — c’est l’humanité
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nationalismes. Il y eut enfin, après la Première
Guerre
mondiale, le mouvement paneuropéen, lancé à Vienne en 1923 par le com
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its groupes d’intellectuels ». Survint la Seconde
Guerre
mondiale et l’occupation de l’Europe. On put croire un moment que tou
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ie il y a quinze ans, qu’une espérance pendant la
guerre
, est aujourd’hui discuté par la presse, les parlements, les ministère
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nos programmes de redressement. Et les menaces de
guerre
sont là. Demandez à l’opinion si elle est mûre pour la guerre ! Elle
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là. Demandez à l’opinion si elle est mûre pour la
guerre
! Elle hésite à vous suivre à cause de vos prudences. Elle suivra ceu
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olis, Lépante… Noms prestigieux ! Aujourd’hui, la
guerre
froide, le rideau de fer. Relevons que les poussées de l’Asie par l’e
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de deux empires neufs qui menacent d’engager une
guerre
sur son sol et à ses dépens. Poussière de petits États, dont les plus
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us secrets et ne donnent pas lieu, comme avant la
guerre
, à des communications de portée internationale. Il y a loin de la sit
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sse et américain, l’Europe qui vient de perdre la
guerre
fait actuellement ce qu’on appelle une névrose d’infériorité. Pourtan
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selon qu’on préfère ceux qui s’engagent dans les
guerres
d’idéologies à ceux qui signent des contrats de « paix de travail ».
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leine de surprises pour ses disciples. Pendant la
guerre
, ce contempteur de toute espèce de « politique chrétienne » s’engage
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foi, parce qu’il instaure une religion. Après la
guerre
, ce contempteur de la neutralité, « péché des Suisses », s’élève sans
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ché des Suisses », s’élève sans relâche contre la
guerre
froide, et se voit accusé de neutralisme par les bourgeois anticommun