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pour les plus déplorables duperies collectives :
guerre
« nationale1 », plan quinquennal, racisme, mentalité du citoyen moyen
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me défends en attaquant. Je préfère porter cette
guerre
qu’on me fait sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour
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pacifiste par doctrine. Mais pourquoi dire que la
guerre
est « morale » ou qu’elle est « juste et nécessaire » ? Nécessité et
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hoses ; et la morale voudrait qu’on ne fît pas de
guerre
. D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une m
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oudrait qu’on ne fît pas de guerre. D’ailleurs la
guerre
moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une mainmise de la finance
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uerre. D’ailleurs la guerre moderne n’est plus la
guerre
. Elle naît d’une mainmise de la finance sur les sentiments patriotiqu
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des « solutions pratiques » qu’affirme, depuis la
guerre
, un autre groupe de clercs, fort désireux d’aller au peuple. On est f
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ands. Et ce n’est pas la Fatalité qui prépare les
guerres
, mais plutôt, à en croire certains, le conseil d’administration du Tr
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tièrement par le fait qu’il était, à la fin de la
guerre
, caporal dans l’armée allemande. Son idéologie n’a rien de personnel,
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x, la préparation des esprits qui prélude à toute
guerre
moderne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiq
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soi-même et de tout. Et nous vîmes, tôt après la
guerre
, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec
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cru longtemps, — le temps de nous souvenir de la
guerre
. Aujourd’hui, des imprécations montent de toutes les parties de la te
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contre une chrétienté qui, loin d’avoir maudit la
guerre
et surtout ce qui l’a permise, prétend encore dominer sur l’Europe, e
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sme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime, la
guerre
et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu voir ! », di
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ris. Il est vrai que certains, au lendemain de la
guerre
, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. L
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« ordre » et des « idéaux » criminels. Il y a la
guerre
proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pour
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d’entente avec l’URSS. Nous ne pensons pas que la
guerre
soit, comme l’écrit Henri Lefebvre, la seule « chance » des capitalis
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on, elle n’est rien que l’absence obsédante de la
guerre
. Tout cela est assez connu, mais peu de personnes en tiennent compte.
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s à dénoncer et à combattre les instruments de la
guerre
menaçante : politiciens, maîtres de forges, journalistes. La corrupti
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agents les plus puissants qui travaillent pour la
guerre
. Les communistes ont parfaitement raison de soutenir que le régime es
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soutenir que le régime est organiquement lié à la
guerre
, et que la guerre est une des pièces indispensables du système capita
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gime est organiquement lié à la guerre, et que la
guerre
est une des pièces indispensables du système capitaliste. Mais ils s’
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réelle, comme il était, en régime capitaliste, la
guerre
du droit et de la justice. Ces simplifications résument des études qu
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la fraternité. Capital, police, lutte de classes,
guerre
. Primauté du paraître sur l’être. La Personne : fondement de la Co
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tte équivoque, sans doute pensa-t-elle jusqu’à la
guerre
pouvoir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle risque cependan
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s du capitalisme créateur d’injustice sociale, de
guerres
, de chômage, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui