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ourt : Nie mehr Krieg. Erledigt ! (Plus jamais de
guerre
! C’est en ordre !) (L’Anglais noterait dans son carnet : Tous les do
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» : La lutte contre la faim et le froid est notre
guerre
. Est-ce une déclaration pacifiste ? Ou bien ne peut-on enthousiasmer
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n enthousiasmer l’Allemand qu’en lui parlant de «
guerre
», fût-ce même contre le froid ? Dimanche dernier, c’était le jour de
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mes objections (portant surtout sur le danger de
guerre
que représente l’hitlérisme). Il reconnaît le bien-fondé de plusieurs
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rsonne n’aura le temps de bouger. Aucun danger de
guerre
. Un éclair, et tout sera terminé. N’ayez pas peur pour la paix, nous
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la propriétaire est un maigre blafard, blessé de
guerre
, et qui ne peut plus s’occuper que de la maison et des comptes de loc
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rdent la tête, font un coup de bluff, et voilà la
guerre
déclarée. C’est en tout petit l’histoire du traité de Versailles.
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urons, ces défilés farouches — tout cela signifie
guerre
en français. Il n’y a rien à faire contre ce jugement. Je vous le dis
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possible : c’est que ces types se préparent à la
guerre
. Lui. — Ce n’est là, tout simplement, qu’un goût que nous avons. Cel
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goût que nous avons. Cela n’a rien à voir avec la
guerre
, la guerre contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allema
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us avons. Cela n’a rien à voir avec la guerre, la
guerre
contre un pays déterminé. De tous temps, les jeunes Allemands ont aim
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. « La lutte contre la faim et le froid est notre
guerre
. » Je sais bien ce que vous entendez par là : « Les autres peuples en
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par là : « Les autres peuples en sont encore à la
guerre
armée, nous, nous luttons pour édifier un monde sans misère : voilà n
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s pour édifier un monde sans misère : voilà notre
guerre
! » Mais pourquoi faut-il que votre paix soit encore une guerre ? Ne
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s pourquoi faut-il que votre paix soit encore une
guerre
? Ne pouvez-vous vraiment enthousiasmer vos concitoyens qu’en les app
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ousiasmer vos concitoyens qu’en les appelant à la
guerre
, même si c’est pour la paix ? Voyez la différence : quand Briand voul
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raît bien plus urgent que d’aller faire la petite
guerre
dans les bois de Meudon. Et c’est plus dangereux aussi. Lui. — Bien
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versaire n’est pas un vrai adversaire, comme à la
guerre
. Nous avons besoin de sentir devant nous un adversaire vraiment dange
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irilité. À quoi cela vous mènera-t-il, sinon à la
guerre
? Lui. — Peut-être qu’il faut cela… Moi. — Vous ne le disiez pas to
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e, c’est bien plutôt son idéalisme lamentable. La
guerre
actuelle n’est pas du tout un appel à la virilité. Nous ne sommes plu
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ne sommes plus au temps de Frédéric le Grand. La
guerre
actuelle n’est pas une éducation de la violence physique, c’est une m
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ts humains. Mais il y a d’autres solutions que la
guerre
. Faire valoir toutes les différences, tous les contrastes, à l’extrêm
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umaine, l’exaltation des différences aboutit à la
guerre
, forcément. Moi. — Dans votre réalité, oui ! Parce que vous placez t
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bien que nous n’avons aucune raison de vouloir la
guerre
avec la France. Qu’aurions-nous à y gagner, je vous le demande ? Moi
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gime. Moi. — J’en reviens à notre problème de la
guerre
en soi. Quelle solution donnez-vous à cette question de l’utilisation
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cures, brutales, de l’homme ? La préparation à la
guerre
. Et quand je vous dis que c’est un danger européen, vous le niez, ave
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voulons lui créer un autre champ que celui de la
guerre
moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution, étant don
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que celui de la guerre moderne. Nous nions que la
guerre
soit jamais une solution, étant donnés ses instruments actuels. Nous
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ait attestée par le droit de porter une arme à la
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et de la conserver à son foyer en temps de paix. La ville entière est
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passé à l’aube, en direction du Rhin. — Est-ce la
guerre
? m’a demandé le vendeur du kiosque à journaux. — La guerre, grands d
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’a demandé le vendeur du kiosque à journaux. — La
guerre
, grands dieux ! Parce que vous mettez quelques soldats à vos frontièr
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rs. Par exemple, on me dit : les nazis veulent la
guerre
. Je réponds : non, ils en ont peur. On me dit qu’ils sont capitaliste
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ands temples. Commandant de sous-marin pendant la
guerre
, Martin Niemöller fait figure de héros national. Son autobiographie e