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aujourd’hui ! Monta le vent des plaines Vent de
guerre
! Vers le Gothard, notre bastion sacré. Alors un homme s’est dre
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! Il reste pauvre et seul. Tous crient : La
guerre
! Et lui tout seul dit : Paix ! Chœur céleste. Paix sur la te
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! Et lui nous dit : Amour ! Tous crient : La
guerre
! Et lui, tout seul encore Nous dit : Courage, ô peuple, reste uni
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le Seigneur nous a bénis. Bon capitaine dans les
guerres
, bon juge ensuite en nos villages, et te voici avec tes dix enfants,
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e autre page, c’est ma vie à l’armée ! Dix ans de
guerre
, et à la fin, ce soir au camp, après notre dernier combat. J’entends
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les Suisses ne gardent pas le droit juré, dans la
guerre
comme dans la paix, la Confédération sera perdue. Notre salut est dan
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ier. — Tu es fou, Nicolas, avec ton Pacte ! À la
guerre
comme à la guerre ! 4e officier. — Si tu veux la justice, ne te m
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Nicolas, avec ton Pacte ! À la guerre comme à la
guerre
! 4e officier. — Si tu veux la justice, ne te mêle plus de la gue
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. — Si tu veux la justice, ne te mêle plus de la
guerre
. Attends la saison des moissons ! 1er officier. — Pour cette fois
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. Mais voici mon avis personnel. Avec un homme de
guerre
de ta sorte, on ferait peut-être un respectable juge de paix ! Je te
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J’ai choisi ! Je quitte l’armée. Je quitte votre
guerre
injuste, et je ne reprendrai jamais les armes — que s’il faut défendr
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ur d’entre nous s’en va ! Qui maintiendra dans la
guerre
le droit ? Qui gardera notre alliance jurée ? Ô combattant loin des a
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urs ! Un peuple entier sera sauvé, par toi, de la
guerre
qui tue les pères et qui dévaste les foyers. Par toi, par ton seul sa
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he aux yeux du monde, c’est celui-là qui fait des
guerres
! Je vous le dis, seigneurs : la Suisse est menacée par de perfides s
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venus d’Alsace, chassés par la misère et par les
guerres
continuelles, en chemin ramassant hommes et femmes, tous pauvres gens
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re ! Nicolas. — Pauvres gens ! Il y a donc la
guerre
là-bas ? Le pèlerin. — Les ducs d’Autriche et de Bourgogne font l
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e encore, les Suisses sont restés à l’écart de la
guerre
. Autrement, où pourrions-nous fuir ? Mais la vie est dure, chez vous
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icolas. — Pauvres enfants ! Vous voulez faire la
guerre
pour obtenir du pain ? Oh ! malheureux ! Partout où la guerre a passé
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obtenir du pain ? Oh ! malheureux ! Partout où la
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a passé, les pauvres l’ont payée, de leur famine. Si vous prenez les
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je vous aiderai. Si Dieu le veut, j’écarterai la
guerre
de nos cantons où vous avez trouvé refuge. Mais renoncez vous-même à
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trouvé refuge. Mais renoncez vous-même à faire la
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, car autrement le mal n’a pas de fin. Et souvenez-vous qu’un plus pau
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on salut ! Il se souvient de ta vaillance dans la
guerre
, quand tu luttais contre nos gens. Mais ta sagesse est plus illustre
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s ! Nicolas. — Votre paix est tournée vers la
guerre
! Je vois sa face d’ombre et de sang, au travers des reflets dorés qu
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vos princes ont dessein de l’abattre ! À nous la
guerre
, à vous la gloire, c’est ton marché ? Hornek. — Réfléchis, frère
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êve qui se lève avec le vent des plaines et de la
guerre
? Hélas ! où courons-nous ? (Pendant ce récitatif, jeu de scène indi
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écho ! Voix de paix descend des sommets, Vent de
guerre
souffle sur nos terres. Jour du désir, jour de l’angoisse ! Confédéré
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lez et culbutez, Terreur au loin par votre cri de
guerre
! Tous. Sonnez le cor épouvantable des batailles Et notre bras
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œur des français. Quelle heure sonne ? Heure de
guerre
? Demi-chœur des suisses. (À droite.) Si le nuage doit tonner,
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des autrichiens. Quelle heure sonne ? Heure de
guerre
? Demi-chœur des suisses. (À gauche.) Heure maudite et cruelle
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ureau baisse les cornes, prêt au bond. Je vois la
guerre
! Voix des suisses. — Et que vois-tu ? Dis, que vois-tu ? L’as
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de vengeance ! Incendie, viol, fraude, carnage !
Guerre
! Guerre ! Éclate, joie du sang sauvage ! Hardi les Suisses ! Sus au
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ance ! Incendie, viol, fraude, carnage ! Guerre !
Guerre
! Éclate, joie du sang sauvage ! Hardi les Suisses ! Sus au Téméraire
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spectres à la face effrayante : la Discorde et la
Guerre
civile. C’est à cause de ces deux sièges-là que la Diète aujourd’hui
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L’ambassadeur de France. — Lorsqu’il partait en
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, provoqué par ces paysans, Charles faisait crier devant l’armée : « L
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Carnaval, armés de piques, chantant des chants de
guerre
, et les villes ont été forcées de payer un tribut d’or et d’argent po
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llevie. 1. Compagnons de la Follevie Dansons la
guerre
Dansons la vie ! Tout’s les filles de la terre Cour’t après les milit
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ugeoient Par les villes qui flamboient Dansons la
guerre
! (Refrain.) Chœur des ambassadeurs. Et notre bras vous soutiend
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nce ! 3e partie des compagnons. — À mort ! la
guerre
! La suite de Venise. — Villes et filles ! 4e partie des compa
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débat — songez-y tous ! — sortiront la paix ou la
guerre
! Que chacun des partis déclare maintenant les sacrifices qu’il pourr
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as vaillamment combattu, à nos côtés, pendant les
guerres
de Bourgogne ? À cette condition, nous acceptons que soit dissous et
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d vous nous dites : Unissons-nous ! c’est pour la
guerre
. Quand vous nous dites : Faisons régner l’ordre ! c’est pour augmente
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c’est pour augmenter vos richesses. Car pour vos
guerres
, nous donnerons du sang, et c’est vous qui garderez l’or ! Ce sont le
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e étranger, car vous voulez nos hommes pour votre
guerre
à vous ! Eh bien ! je dis que notre alliance est faite pour notre seu
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cause, et nos ancêtres nous regardent ! Plutôt la
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que la honte ! J’ai dit. Le président. — Ainsi, d’une part les vi
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essieurs, je vous le demande, allez-vous faire la
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pour une question de procédure ? Waldmann. — Prenez garde ! Il s’
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irerons les conséquences ! (Tumulte, cris : À la
guerre
! À la guerre !) Le président. — La séance est suspendue ! Gardes
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nséquences ! (Tumulte, cris : À la guerre ! À la
guerre
!) Le président. — La séance est suspendue ! Gardes ! avancez ! (
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— ô rumeur irréparable — que dis-tu ? — Demain la
guerre
! II. Ah ! nuit de deuil, peuple des monts et des vallées, — qui pour
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nt ta voix déplorable. — Que dis-tu ? — Demain la
guerre
. (Batterie, rythme de tambours, qui se prolongent durant les répliq
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n 1, au plan 2.) — Qu’ont-ils dit ? — Demain la
guerre
! — Ô notre alliance déchirée ! — Qu’ont-ils dit ? — Demain la mort !
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aimo ! Appelez-le ! Mes deux fils partent pour la
guerre
! Ils l’ont crié : Demain la guerre ! Réveillez-le ! Un seul peut nou
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rtent pour la guerre ! Ils l’ont crié : Demain la
guerre
! Réveillez-le ! Un seul peut nous sauver ! La voix. — Il n’est p
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Nicolas. — Et cette nuit, ils se préparent à la
guerre
, non pour défendre leur patrie, mais pour remplir leurs bourses d’or.
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exhortation ! Nicolas. — Quand les chevaux de
guerre
sont sellés, quand les hommes au sang jeune et violent tendent la mai
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-bas ! Ils se sont levés ! Tout s’apprête pour la
guerre
! Soldats rangés, armes fourbies, regards de haine, sans un mot ! Mon
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sauves. Tu as raison quand tu nous jettes dans la
guerre
. Tu as raison quand tu nous gardes dans la paix. Que ta volonté se fa
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e signal : début des hostilités.) Tous. — À la
guerre
! Haimo (entre les deux groupes, isolés). — Halte ! (Tous se reto