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s ce temps. « Goethe vit sur un perpétuel pied de
guerre
et de révolte psychique ». Et lui-même gémit, avec une sombre joie :
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s-mêmes, le nationalisme romantique, conduit à la
guerre
. L’affaiblissement de ces valeurs dans ce qu’elles ont de spécifique,
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ion plus ou moins rationnelle entre les règnes en
guerre
ouverte du Dieu de la foi et du Prince de ce monde ; nécessité du tém
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la terre, les maladies, la famine, la révolte, la
guerre
et la mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’angoisse grand
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dès le début que les Allemands n’ont pas perdu la
guerre
), doit résulter un sentiment de manque d’assurance nationale. La vrai
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e d’expansion indéfinie, mais aussi le goût de la
guerre
(préfiguration de la mort, toujours rêvée par les grands passionnés),