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e la mort de Dieu a constitué depuis la fin de la
guerre
la hantise d’une partie assez importante de la littérature contempora
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ostumés et consacrés comme l’étaient les rois. La
guerre
n’est plus un jeu réglé, un drame solennel rappelant les ordalies ou
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tiques, banquets, cérémonies pour les morts de la
guerre
, inauguration, etc., s’appliquent en général à parler comme n’importe
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conférence (sans date ni lieu) prononcée après la
guerre
. g. Cette phrase est traduite directement de l’édition américaine :
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qui résume toute une époque. Je pense qu’avec la
guerre
, cette époque a pris fin. Et je fonde cette croyance sur quelques fai
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ou bien à passer à l’attaque. Ce lendemain d’une
guerre
de Trente Ans ne ressemble guère à une victoire, il faut bien le dire
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l faut bien le dire. Les nations qui ont perdu la
guerre
ont tout perdu ; mais celles qui l’ont gagnée n’ont rien gagné : elle
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autre chose, pour le monde, que des tyrans, leurs
guerres
, et les tyrannies qui en résultent… Un mot encore. Ce programme, qui
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ssique, non seulement dans les pays ruinés par la
guerre
, mais autant, ou même plus, dans les pays comme les États-Unis. Dans
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plus, dans les pays comme les États-Unis. Dans la
guerre
moderne tout contribue à un abaissement du niveau intellectuel : la p
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nte ou un sens normal de la justice. En outre, la
guerre
a toujours pour effet de démoder les types de culture de la période d
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culturel : le besoin de chefs, la violence de la
guerre
transportée dans le domaine de l’esprit, un goût d’aventure, mais aus
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lque chose d’analogue en Europe après la Première
Guerre
mondiale. Ce sera, cette fois, beaucoup plus violent car la Deuxième
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cette fois, beaucoup plus violent car la Deuxième
Guerre
mondiale a mis en jeu des idéologies beaucoup plus puissantes et dyna
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namiques. Il serait romantique de supposer que la
guerre
actuelle a détruit toutes les éternelles illusions de l’humanité. Nou
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légitimité de la liturgie en soi — comme avant la
guerre
— mais bien les divers projets d’ordre du culte présentés par les com
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uationag dans nos têtes. C’est au point que si la
guerre
éclate dans un proche avenir, on peut être certain que tous les pays
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tes confessions. J’ai participé avant et après la
guerre
, en Europe, à de nombreuses rencontres d’intellectuels organisées aux
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e. On porte l’Arche au-devant des armées, dans la
guerre
, comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usage est interdit p
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u peuple, mais son usage est interdit pendant les
guerres
civiles : c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa l
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ole et l’action, — la tradition, la prophétie, la
guerre
… Mais cet extrême dénuement, ce résidu d’exclusions fanatiques, se tr
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uver sa vie matérielle et morale, d’échapper à la
guerre
, à la misère, à l’oppression, s’il ignore ou refuse « la seule chose
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onverti, laisser le monde aller son train, et les
guerres
se déchaîner, et les chômeurs mourir de faim ? Ce serait prouver qu’o
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t pas cela qui supprime la misère, qui empêche la
guerre
, qui change le monde ! Il faut le dire à notre honte, à nous chrétien
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e suprême nommée « raison d’État », et jusqu’à la
guerre
s’il le faut, sont des moyens parfaitement acceptables en tant qu’ils
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ne rappelle qu’en passant les dragonnades et les
guerres
de religion qui les précèdent : on sait assez que ce fut la lutte d’u
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fascismes contre leur frère, le stalinisme : une
guerre
de religions qui ne sont pas les nôtres. Je prends ici parti contre u
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ins), la haine de classe (prêchée par Marx) et la
guerre
(pour peu qu’elle soit censée défendre l’URSS). 41. Je n’entends pas
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ses « encycliques » improvisées à la veille de la
guerre
. Qu’il soit encore très loin d’une vision dynamique de l’action imméd
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olitique et économique, résultent pratiquement la
guerre
et la révolution. Du conflit moral résultent la tyrannie et l’anarchi
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isme exclut de même l’impérialisme, générateur de
guerres
, et le régionalisme borné et égoïste. (Remarquons d’ailleurs que l’im
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s les deux camps. Le totalitarisme est un état de
guerre
, qui ne peut subsister normalement. Il ne reste donc à prévoir qu’un
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pulvérisées. Le rôle de Churchill est de faire la
guerre
. Mais il ne pourra pas la gagner réellement s’il ne propose rien aux
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rôle de Staline, il paraît être de profiter de la
guerre
des autres pour consolider l’autarcie russe… Cette carence générale d
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urope est condamnée ». L’Europe détrônée par deux
guerres
et ruinée par sa division en vingt-cinq États « souverains » — incapa
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rs l’union fédérale, déclenché au lendemain de la
guerre
par les congrès de Montreux et de La Haye, a produit le Conseil de l’
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ne peut se défendre seul. Aucun ne peut faire la
guerre
sans lever la main pour demander la permission — qu’on lui refuse. Au