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quand se pose soudain la question du uhlan de la
guerre
de Bohême : il s’arrête au milieu de la campagne et demande : « De qu
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de vieux combats qui traînent, mais déclarer une
guerre
nouvelle au nom d’une ambition plus vaste. C’est donner dès maintenan
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x mesures de l’utilité générale. C’est dans cette
guerre
d’usure, millénaire, qu’elle s’est formée et clarifiée, qu’elle s’est
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e. On porte l’arche au-devant des armées, dans la
guerre
, comme le symbole de l’unité du peuple, mais son usage est interdit p
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u peuple, mais son usage est interdit pendant les
guerres
civiles : c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au ciel, sa l
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ole et l’action, — la tradition, la prophétie, la
guerre
… On l’a dit : le royaume d’Israël fut davantage une ecclesia qu’une p
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ourait le terrain en hurlant au hasard son cri de
guerre
: « Qu’on lui coupe la tête ! » — Ainsi nos mots se déforment entre n
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t, de la situation intenable que révéla la Grande
Guerre
. Cela ne pouvait pas durer. Les masses ne pouvaient pas durer dans la
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prise. Certes la décadence du régime tsariste, la
guerre
perdue, la misère du peuple, l’absence de tout esprit civique dans le
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ons, ville et campagne, Université et peuple : la
guerre
était partout et la mesure commune nulle part. Hitler parut et dit :
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nte qu’il s’agit ici de régimes entre lesquels la
guerre
est déclarée, au nom de doctrines et de buts dont certains nous parai
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ques des deux côtés. Le travail doit remplacer la
guerre
. (« La lutte contre le froid et la faim est notre guerre ! » peut-on
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(« La lutte contre le froid et la faim est notre
guerre
! » peut-on lire sur les panneaux de propagande du Secours d’hiver al
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eunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la
guerre
une révolution de masses. Elles mènent une vie dure et s’en disent fi
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voir un principe d’action créatrice, ou une bonne
guerre
d’agression qui lui permette de doubler le cap de la désespérance. Et
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e, en face d’impérialismes conquérants, mène à la
guerre
? Oui, si nous l’affirmons sans l’exercer avec puissance, si nous ref
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igner l’auteur mystérieux du mauvais temps, de la
guerre
ou des pestes. Cet amour, ce culte rendu à des déterminismes de plus
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r que cette religion de l’État-nation exigeait la
guerre
, mais que la guerre ne pourrait que la perpétuer et « justifier » ses
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de l’État-nation exigeait la guerre, mais que la
guerre
ne pourrait que la perpétuer et « justifier » ses exigences accrues.
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rouge, qui allait jeter notre génération dans une
guerre
qui ne serait pas la nôtre mais la sienne. Or nous serions forcés de
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roulé, le stalinisme est moribond : nul danger de
guerre
ne menace à bout portant la jeune génération contestataire. À tel poi
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civique : États-nations centralisés, vivant de la
guerre
et de la répression, ou foyers de rayonnement régionaux, animant la p
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ent au nom du sacré national, lequel est né de la
guerre
et prépare à la guerre, bornant le peuple, son économie, sa culture e
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ional, lequel est né de la guerre et prépare à la
guerre
, bornant le peuple, son économie, sa culture et ses aspirations par d
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lles mais qui ne sont que les absurdes résidus de
guerres
anciennes, maintenus à cause du souvenir de ces guerres et en vue de
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s anciennes, maintenus à cause du souvenir de ces
guerres
et en vue de leur retour qu’on prétend redouter… IVAu-delà des Éta
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ue le veto. Ils sont structurellement fauteurs de
guerre
. Trop petits pour participer à la politique planétaire, trop grands p
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ais dont la fortune fut rapide. À la veille de la
guerre
déjà, j’éprouvais le besoin de dénoncer l’abus qui en était fait, et
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ngagements. La vogue du terme au lendemain de la
guerre
et son attribution quelque peu surprenante à une école philosophique