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e de l’après-guerre. Tout y est laid, désaccordé,
géométrique
, douloureux pour la vue et pour l’ouïe, faussement riche et trop écla
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notre Europe : harmonie intérieure ou uniformité
géométrique
et militaire. Fédéralisme ou totalitarisme. Je comprends et je vois l
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ans la brume épaissie, mais lumineuse, des ombres
géométriques
découpent l’espace aussi haut qu’on peut voir. Nous défilons lentemen
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asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos
géométrique
, c’est bien New York… Si je me retourne un peu sur ma terrasse, voici