1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
1 e contrôle que les autres nous imposent », dit un héros de Mauriac. C’est un « homme seul » qu’a peint « par le dedans » M. J
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
2 ure volonté d’être ou de ne pas être… ». Mais les héros de Pirandello, s’ils veulent être, subissent, une fois qu’ils sont, l
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 nt bien les ancêtres des nouvelles générations de héros de roman, lesquels sont tous éperdument égoïstes. Égoïstes avec une p
4 l est ce besoin si général de s’incarner, dans le héros de son roman, de se voir vivre, dans son œuvre ? C’est ici la concept
5 t le surréalisme. De l’acte gratuit commis par un héros de roman, à la vie gratuite que prétendent mener les surréalistes, il
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
6 par la divination de cet amour qu’Alban (le jeune héros du récit) sent ce que sent la bête en même temps qu’elle. Et parce qu
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jacques Spitz, La Croisière indécise (décembre 1926)
7 rythme des désirs jamais simultanés de ses petits héros . M. Spitz cherche à faire sourire, on le sent ; pourtant l’on sourit 
6 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
8 même qui aboutit naguère au surréalisme. Tous les héros de roman se sont mis à gesticuler « gratuitement ». Et les critiques
9 y a pas de gratuité. Le geste le plus incongru du héros n’est jamais que le résultat d’un mécanisme inconscient, aussi révéla
10 ’une sorte de sincérité les retient d’imposer aux héros ce rythme volontaire par lequel un Balzac les fait vivre. Ce serait f
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
11 re ces confidences qu’elle livre si facilement au héros plus confiant et secrètement incertain de ce roman. À la veille de se
12 deux inconscients : l’époque et l’être secret du héros . Il sait mieux que quiconque aujourd’hui faire éclater dans un cadre
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
13 autant que par la sympathie de l’auteur pour ses héros . Indulgence et regrets, un ton qui permet le tact dans la hardiesse.
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
14 -vis du phénomène littéraire. La « Promenade » du héros de Bopp est une sorte de pensum. Cela rend peut-être moins convaincan
10 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
15 dentale. Voici donc venue l’heure de la juger. Le héros de l’époque, c’est l’homme qui a réussi. Mais à quoi ? C’est la plus
11 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
16 ble sort des parois, noir et blanc, la ravissante héroïne est à son piano, c’est un duo des ténèbres et de la pureté où vibrent
12 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
17 or ? Guy de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son héros « prince de l’illusion et de la solitude ». Mais un prince rêveur n’e
13 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
18 ux démon ! — je te rappelle — Ou bien envoie — un héros — Ou bien — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où
14 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
19 cinéma. On donnait un film voluptueux. Il aima l’ héroïne , mais sans espoir. Il lui écrivit, en sortant de là, dans une crèmeri
15 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
20 ngée par une barbe en crin de cheval du diable. L’ héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses l
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
21 i encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’appelait en véri
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
22 cuplé par la valeur qu’il prend dans l’esprit des héros . Un jeune Français a décidé d’aller fouiller les temples en ruines de
18 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
23 ut exemple. La Société dans laquelle évoluent les héros de Baring est riche, « conformiste » à l’extrême, mais internationale
24 e immanente. En même temps que les actions de ses héros , il note les jugements contradictoires qu’elles provoquent. Et le tra
25 ’ailleurs, car en définitive la conversion de son héroïne nous paraît être à tel point la seule solution possible qu’elle n’est
26 anquille et profonde sur l’état d’âme d’un de ses héros , comme sans le savoir, il établit. En vérité, l’entrée de Blanche dan
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
27 n protestant pouvait trouver pareille formule. Le héros de la foi, Kierkegaard, « l’Isolé », n’a plus rien en lui ni de Faust
28 logien. Il s’agit maintenant de nous révéler ce «  héros de la foi », ce maître de la pensée chrétienne tragique, paradoxale e
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
29 C’est, en effet, sous la forme d’un roman dont le héros , Eiichi, est évidemment l’auteur lui-même, le récit de l’adolescence
30 récit de l’adolescence et de la jeunesse de notre héros  ; mais ce récit prend fin au moment où Kagawa débouche dans la vie pu
21 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
31 a spontanéité, qualité dont Gide aime à douer les héros de ses récits, mais dont lui-même se révèle dépourvu dans une mesure
32 ibrer », un de ces jours, à les « gauchir »…) Le héros de Vol de nuit, non déshumanisé certes, s’élève à une vertu surhumain
22 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
33 ime, de Hollande atlantique : le maire Guiton, le héros , avec Rohan, de la résistance protestante contre le Cardinal, était c
23 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
34 si de la sorte nous sentons mieux sa pointe. Les héros du Scandale, provinciaux énervés par la vie des bars de la capitale n
24 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
35 sait qu’il n’existe pas d’héroïsme collectif. Le héros est toujours seul. Par définition. Quant au bourgeois seul, cela ne s
36 mais existé5. Le bourgeois n’étant donc jamais un héros , n’entreprendra jamais la « réalisation » personnelle d’une pensée. P
25 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
37 ont les Binche ou M. Godeau ou plus récemment les héros de l’Amateur d’imprudence incarnèrent ailleurs toutes les complexités
26 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
38 ble sort des parois, noir et blanc, la ravissante héroïne est à son piano, c’est un duo des ténèbres et de la pureté où vibrent
27 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
39 i encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’appelait en véri
28 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
40 ux Démon ! — je te rappelle — Ou bien envoie — un héros  — Ou bien — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où
29 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
41 ngée par une barbe en crin de cheval du diable. L’ héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses l
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
42 i encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’appelait en véri
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
43 ux Démon ! — je te rappelle — ou bien envoie — un héros  — Ou bien — la sagesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle où
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
44 ngée par une barbe en crin de cheval du diable. L’ héroïne est belle comme une ballade de Bürger, tandis qu’elle arrose de ses l
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
45 res les plus nobles, au lieu d’un demi-dieu, d’un héros ou d’un saint, un singe au naturel, en guise d’armes parlantes du bea
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
46 re un vent impétueux. L’orage est imminent. Notre héros , qui paraît âgé d’une vingtaine d’années, se dirige vers le lac qu’on
35 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
47 te lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’est l’obstacle irréductible
36 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
48 urgeoise ne cesse d’inspirer les attitudes de ses héros , en dépit des carambolages du sort. Il y a donc Toepffer. Puis on tom
49 celui des Lumières de la Ville et du Cirque. Les héros de Pierre Girard sont de doux ahuris, qui partent dans la vie avec un
37 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
50 ui de nos essais critiques. Mais Ramuz, comme ses héros , s’arrête encore au seuil du Nouveau Testament… 11. On confond comm
38 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
51 ixelius a su voir dans la « vie courante » de ses héros des drames singuliers, de bizarres et profondes folies, l’originalité
39 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
52 ttres sur la détresse humaine devant Dieu, que le héros adresse à « son muet confident », l’auteur. Peut-être avons-nous ici
40 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
53 tel homme existe. Que va-t-on faire de lui, de ce héros , n’est-ce pas, des valeurs de l’esprit que justement l’on fait profes
54 peut-être, quitte à fleurir ensuite la tombe du «  héros  », dernière insulte62. Il s’agit de savoir maintenant au nom de quoi
41 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
55 s analogues, l’humanisme fasciste et le culte des héros sont pour notre personnalisme une menace plus perfide que le collecti
56 erfide que le collectivisme déclaré. Célébrer des héros dont l’authenticité n’est établie que par le décret du Parti, c’est à
57 que favorise tout au moins, un culte officiel des héros  ? — Le héros vrai n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocatio
58 tout au moins, un culte officiel des héros ? — Le héros vrai n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocation. Qui n’e
42 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
59 te lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’est l’obstacle irréductible
43 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
60 ure, à la psychologie de la douleur physique. Ses héros subissent, avec un héroïsme et une révolte plus émouvants d’être sile
61 mouvants d’être silencieux, des tortures dont les héros de Malraux n’ont pas toujours renoncé à faire de la littérature. On c
62 ombats où, entre deux bandes de mitrailleuses, le héros médite sur son sort, sont presque identiques. Chez l’un et l’autre, o
44 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
63 s analogues, l’humanisme fasciste et le culte des héros sont pour notre personnalisme une menace plus perfide que le collecti
64 erfide que le collectivisme déclaré. Célébrer des héros dont l’authenticité n’est établie que par le décret du Parti, c’est à
65 que favorise tout au moins, un culte officiel des héros  ? — Le héros vrai n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocatio
66 tout au moins, un culte officiel des héros ? — Le héros vrai n’imite personne. Il n’est conforme qu’à sa vocation. Qui n’e
45 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
67 te lui propose ou que l’État veut lui imposer. Le héros véritable, la personne dans sa pureté, c’est l’obstacle irréductible
46 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
68 st-ce point encore la vision de Dostoïevski ? Ses héros ne viennent-ils pas à nous comme de grands questionneurs, comme des ê
69 ’origine de sa vie, la question de Dieu. Tous les héros de Dostoïevski apparaissent malades, comme blessés d’une atteinte pro
47 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
70 du désorienté excité. Il apparaît alors comme le héros du monde bourgeois. Il incarne à la puissance infinie le goût du néan
48 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
71 « journées », de ces « semaines » consacrées aux héros , c’est-à-dire aux maîtres de la pensée. Après l’Exposition il restera
49 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
72 uelques doutes, pendant cet entretien : des vrais héros parlent-ils d’héroïsme, ont-ils une théorie là-dessus, l’enseignent-i
50 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
73 ante, et comme le juge incorruptible et amical du héros et de son débat, ce personnage a vécu dans ce siècle, où son nom ne c
74 tre humaine condition. On dirait qu’il incite ses héros à pratiquer contre la vie bourgeoise une espèce de « grève perlée » :
75 icable et monstrueux23 survenu dans la vie de son héros , Kafka nous amène à penser que le détail de l’existence banale, et le
76 prolongements de l’aventure du « vieux Pragois », héros non tout à fait imaginaire, lui aussi, du Royaume enchanté de l’amour
77 core : l’inculpation inexplicable qui pèse sur le héros du Procès. d. Rougemont Denis de, Brod Max, « [Préface] Max Brod, L
51 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
78 it réjouir le monde entier, il ne sert de rien au héros  ; car le héros n’a connu son succès que lorsque tout était fini ; et
79 onde entier, il ne sert de rien au héros ; car le héros n’a connu son succès que lorsque tout était fini ; et ce n’est point
80 fini ; et ce n’est point par le succès qu’il fut héros , mais par son entreprise »15. Le temps de l’acte vient s’inscrire sur
81 que la personne ? C’est la vision et le visage du héros , sa vision contre son visage, sa vision qui crée son visage. Le visag
82 vit de Parole. À cause de l’instant éternel, « le héros meurt toujours avant qu’il ne meure »21. C’est le secret dernier de l
52 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
83 cheté des auteurs ? Il y a eu, de tous temps, des héros et des combinards et toutes les nuances intermédiaires, mais aujourd’
53 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IX. Tentatives de restauration d’une commune mesure
84 tatifs, on eut des orateurs et des pantins. Et le héros du spirituel devint le solitaire par excellence, le méconnu et l’ango
54 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
85 sait qu’il n’existe pas d’héroïsme collectif. Le héros , par définition, est toujours seul. (C’est peut-être pourquoi le bour
86 oi le bourgeois — l’homme du bourg — n’est pas un héros , ou cesse d’être un bourgeois quand il devient un héros.) Précisons :
87 ou cesse d’être un bourgeois quand il devient un héros .) Précisons : réaliser une pensée, ce n’est pas seulement la mettre à
55 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IX. Tentatives de restauration d’une commune mesure
88 tatifs, on eut des orateurs et des pantins. Et le héros du spirituel devint le solitaire par excellence, le méconnu et l’ango
56 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
89 sait qu’il n’existe pas d’héroïsme collectif. Le héros , par définition, est toujours seul. (C’est peut-être pourquoi le bour
90 oi le bourgeois — l’homme du bourg — n’est pas un héros , ou cesse d’être un bourgeois quand il devient un héros.) Précisons :
91 ou cesse d’être un bourgeois quand il devient un héros .) Précisons : réaliser une pensée, ce n’est pas seulement la mettre à
57 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jean Blanzat, Septembre (janvier 1937)
92 duel ? Mais alors : veut-on ma compassion pour un héros malade ou mon admiration pour son auteur ? Le livre n’est ni passionn
58 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
93 t la vraie responsable du cafouillage de 1914. Le héros principal — il y a bien une centaine de personnages tous nobles ou ri
59 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
94 embre 1934 « Aidez-moi ! », dit à Jean Giono l’ héroïne d’une de ses nouvelles : elle se plaint de ce que les auteurs des rom
60 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
95 peu illustrent la psychologie la plus secrète des héros . L’on prie de croire, d’ailleurs, que ces héros sont bien assez compl
96 s héros. L’on prie de croire, d’ailleurs, que ces héros sont bien assez complexes pour notre goût moderne ! Et que l’« analys
97 même phrase soit aussitôt mise en pratique par le héros , sans nulle invraisemblance, il faut que ce héros soit un croyant d’u
98 héros, sans nulle invraisemblance, il faut que ce héros soit un croyant d’une certaine trempe. Derrière Karl-Artur, en effet,
61 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
99 orcières, belles jeunes filles courtisées par des héros , épousant des benêts, vieux pasteurs ivrognes ou avares, demoiselles
62 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
100 e nordique ; Esprit allemand ; Sparte ; Arndt ( héros des guerres d’indépendance.) Portraits d’empereurs allemands du Moye
101 du Parti : technique, morale spartiate, culte des héros militaires, retour au Moyen Âge germanique. Je vous laisse à imaginer
63 1938, Tapuscrits divers (1936-1947). L’esprit totalitaire et les devoirs de la personne (mai 1938)
102 , respecte le Dieu des ascètes, des saints et des héros , et même le Dieu que voit et prie le cœur ingénu et primitif du peupl
64 1938, Journal d’Allemagne. Avertissement
103 e même que le roman psychologique, centré sur des héros individuels, a traduit la réalité de l’époque qui prend fin sous nos
65 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
104 ins alangui. Le pasteur a parlé de l’héroïsme. Le héros chrétien n’est pas celui qui meurt glorieusement pour la puissance de
105 ment jusqu’à la mort. Le Christ n’est pas mort en héros , mais en paria, aux yeux de sa nation. Comme je sortais, vivement imp
106 endant la guerre, Martin Niemöller fait figure de héros national. Son autobiographie est célèbre : Du sous-marin à la chaire.
107 e rancune, d’humiliation. Au lieu de la grâce, le héros venu « d’en haut » apporte à son peuple l’orgueil. Et les articles du
66 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
108 sérieux un drame qui se dénoue si facilement, un héros dont l’activité se résume dans ses « bonnes paroles » ? Les catholiqu
67 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
109 on sur l’homme et son destin particulier. D’où le héros , d’où la statue, d’où le tragique (Antigone s’opposant aux décisions
110 eloppements lyriques sur les ossements sacrés des héros suisses, sachons reconnaître les premières racines de quelque chose q
68 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
111 en même temps, l’action doit graviter autour d’un héros solitaire. D’où la nécessité de recourir à des chœurs, qui peuplent e
112 ge, dans les moments où l’intérêt se déplaçait du héros central aux réactions de la foule, c’est-à-dire du drame de la person
113 pour créer une atmosphère qui appelle l’action du héros . Elle n’est plus décorative, mais proprement dramatique. Je ne saurai
69 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
114 que Tristan et Iseut, les amants légendaires, les héros de la passion, ne s’aimaient pas ? Quand j’ai commencé à écrire mon l
115 ’Exposition de Zurich. Je veux mettre en scène un héros suisse, le bienheureux Nicolas de Flue, qui eut une vie extraordinair
70 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
116 leur ne survit pas à sa naissance. D’où le nom du héros , la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la lé
117 a « quête » de l’inconnue. Une tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et tue un dragon qui menaçait la capita
118 s prétextes du romancier, les actions de ses deux héros , et les préférences secrètes qu’il suppose chez son lecteur. Les « fa
119 la création de l’obstacle par la passion des deux héros (confondant ici ses effets avec ceux de l’exigence romanesque et de l
120 n et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie, dit le héros , tes sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir,
71 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
121 celle de la terre, mais épurée, et dont certains héros pouvaient revenir, sous d’autres noms, se mêler aux vivants. Par cett
122 ues platoniciens, et d’autre part la nostalgie du héros celte revenu du Ciel sur la terre, et qui se souvient de l’île des im
123 and nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est attiré
124 ontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros , Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est attiré par une mystérieuse beauté 
125 t religieuses, mais par le culte plus profane des héros et de leurs prouesses, remplaçant peu à peu les dieux dans les légend
72 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
126 lement le point d’honneur, manie sociale. C’est l’ héroïne , ici, qui est la plus astucieuse lorsqu’il s’agit d’imaginer des prét
127 e l’officieux Boileau — le court Dialogue sur les Héros de Roman — pour réduire au silence et à l’oubli, jusque dans les manu
128 nt malgré eux dans l’état de mariés, à quoi notre héros veut échapper non pour l’amour de la liberté — qu’il allègue — mais p
129 n éditeur, sur son protestantisme et celui de ses héros  : mais malgré sa sincérité, l’on ne peut que suspecter un « calvinism
73 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
130 hevalier à la pèlerine » ; parfois il apparaît en héros de roman et s’appelle le chevalier au cygne, ou porte les armes de La
131 acolant parmi les troupes ennemies — en véritable héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mort, à F
132 t pas le cœur de chaque soldat considéré comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien le cœur collectif, si l’
74 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
133 d’extravagances. Chaque parole et chaque geste du héros devaient correspondre à des symboles déterminés. La maison de verre p
75 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
134 précisément dans le passé. Moritz décrit ainsi le héros d’un de ses romans : « Il lui parut qu’il s’était échappé entièrement
135 l poursuivant l’image d’Aurélia, Anton Reiser (le héros de Moritz) la fait dès l’enfance, lorsqu’il s’interroge sur ce qu’est
76 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
136 oir encore, Confédérés Prêtez l’oreille ! Notre héros et notre saint nous parle. Là-bas, tous crient : Ensemble ! Ensemb
77 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
137 leur ne survit pas à sa naissance. D’où le nom du héros , la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la lé
138 a « quête » de l’inconnue. Une tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et tue un dragon qui menaçait la capita
139 s prétextes du romancier, les actions de ses deux héros , et les préférences secrètes qu’il suppose chez son lecteur. Les « fa
140 la création de l’obstacle par la passion des deux héros (confondant ici ses effets avec ceux de l’exigence romanesque et de l
141 an et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie, dit le héros , tes sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir,
78 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
142 celle de la terre, mais épurée, et dont certains héros pouvaient revenir, sous d’autres noms, se mêler aux vivants. Par cett
143 ues platoniciens, et d’autre part la nostalgie du héros celte revenu du Ciel sur la terre, et qui se souvient de l’île des im
144 and nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est attiré
145 ontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros , Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est attiré par une mystérieuse beauté 
146 t religieuses, mais par le culte plus profane des héros et de leurs prouesses, remplaçant peu à peu les dieux dans les légend
79 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
147 lement le point d’honneur, manie sociale. C’est l’ héroïne , ici, qui est la plus astucieuse lorsqu’il s’agit d’imaginer des prét
148 e l’officieux Boileau — le court Dialogue sur les Héros de Roman – pour réduire au silence et à l’oubli, jusque dans les manu
149 nt malgré eux dans l’état de mariés, à quoi notre héros veut échapper non pour l’amour de la liberté — qu’il allègue — mais p
150 n éditeur, sur son protestantisme et celui de ses héros  : mais malgré sa sincérité, l’on ne peut que suspecter un « calvinism
80 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
151 hevalier à la pèlerine » ; parfois il apparaît en héros de roman et s’appelle le chevalier au cygne, ou porte les armes de La
152 acolant parmi les troupes ennemies — en véritable héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mort, à F
153 t pas le cœur de chaque soldat considéré comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien le cœur collectif, si l’
81 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
154 leur ne survit pas à sa naissance. D’où le nom du héros , la couleur sombre de sa vie, et le ciel d’orage qui couvre la légend
155 a « quête » de l’inconnue. Une tempête rejette le héros vers l’Irlande. Là, il combat et tue un dragon qui menaçait la capita
156 s prétextes du romancier, les actions de ses deux héros , et les préférences secrètes qu’il suppose chez son lecteur. Les « fa
157 la création de l’obstacle par la passion des deux héros (confondant ici ses effets avec ceux de l’exigence romanesque et de l
158 n et d’Isolde ! Vieille et grave mélodie, dit le héros , tes sons lamentables parvenaient jusqu’à moi sur les vents du soir,
82 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
159 celle de la terre, mais épurée, et dont certains héros pouvaient revenir, sous d’autres noms, se mêler aux vivants. Par cett
160 ues platoniciens, et d’autre part la nostalgie du héros celte revenu du Ciel sur la terre, et qui se souvient de l’île des im
161 and nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est attiré
162 ontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros , Bran, Cuchulainn, ou Oisin, « est attiré par une mystérieuse beauté 
163 t religieuses, mais par le culte plus profane des héros et de leurs prouesses, remplaçant peu à peu les dieux dans les légend
83 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
164 lement le point d’honneur, manie sociale. C’est l’ héroïne , ici, qui est la plus astucieuse lorsqu’il s’agit d’imaginer des prét
165 e l’officieux Boileau — le court Dialogue sur les Héros de Roman — pour réduire au silence et à l’oubli, jusque dans les manu
166 nt malgré eux dans l’état de mariés, à quoi notre héros veut échapper non pour l’amour de la liberté — qu’il allègue — mais p
167 n éditeur, sur son protestantisme et celui de ses héros  : mais malgré sa sincérité, l’on ne peut que suspecter un « calvinism
84 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
168 hevalier à la pèlerine » ; parfois il apparaît en héros de roman et s’appelle le chevalier au cygne ou porte les armes de Lan
169 acolant parmi les troupes ennemies — en véritable héros de l’Astrée qu’il fut. Et cette suprême politesse devant la mort, à F
170 t pas le cœur de chaque soldat considéré comme un héros qui décidera du sort d’une guerre, mais bien le cœur collectif, si l’
85 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
171 d’extravagances. Chaque parole et chaque geste du héros devaient correspondre à des symboles déterminés. La maison de verre p
86 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
172 e qu’on s’aperçoit qu’elle est indispensable. Nos héros , nos batailles et nos vertus civiques, ce sont pour nous des souvenir
87 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
173 on sur l’homme et son destin particulier. D’où le héros , d’où la statue, d’où le tragique (Antigone s’opposant aux décisions
174 eloppements lyriques sur les ossements sacrés des héros suisses, sachons reconnaître les premières racines de quelque chose q
88 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
175 r — encore lui ! — met dans la bouche d’un de ses héros , dans le récit intitulé Le Fanion des sept braves. Par les temps que
89 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
176 on sur l’homme et son destin particulier. D’où le héros , d’où la statue, d’où le tragique (Antigone s’opposant aux décisions
90 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
177 ts de limonade de littérateurs esthétisants et de héros de salon. Seule, une tempête de passion brûlante peut changer le dest
91 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
178 t complètement différent. 5. Je ne parle pas des héros de la guerre, mais de la paix. 6. Est-ce un si grand bien ? Pour le
179 Pour le grand nombre, oui, probablement. Pour le héros , non. Pour le saint, c’est indifférent. 7. Je pense à Mein Kampf, au
92 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
180 ’est pourquoi l’un des premiers malheurs de notre héros est de ne plus pouvoir aimer ni être aimé.) J’ai dit que la liberté d
181 s savons le mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle,
93 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
182 achait au mot même, qui avait électrisé jadis les héros de la Révolution. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de
94 1942, La Part du diable (1944). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
183 e Parti. S’il n’y a plus de guerres, qui fera des héros  ? Qui réveillera le sens du sacrifice ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais
95 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
184 centrale du Wilhelm Meister ? Goethe conduit son héros d’épreuves en surprises, par une volonté mystérieuse qui est celle du
185 complètement différent. 12. Je ne parle pas des héros de la guerre, mais de la paix. 13. Est-ce un si grand bien ? Pour le
186 Pour le grand nombre, oui, probablement. Pour le héros , non. Pour le saint, c’est indifférent. 14. Je pense à Mein Kampf, a
96 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
187 ’est pourquoi l’un des premiers malheurs de notre héros est de ne plus pouvoir aimer ni être aimé). J’ai dit que la liberté d
188 s savons le mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle,
97 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
189 achait au mot même, qui avait électrisé jadis les héros de la Révolution. La morale était ennuyeuse, et le gangster plein de
190 ébré par Burckhardt et par Nietzsche à propos des héros de la Renaissance. On pourrait le traduire à peu près par énergie de
98 1942, La Part du diable (1982). Deuxième partie. Hitler ou l’alibi
191 e Parti. S’il n’y a plus de guerres, qui fera des héros  ? Qui réveillera le sens du sacrifice ? Pour qui ? Pour quoi ? Jamais
99 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
192 centrale du Wilhelm Meister ? Goethe conduit son héros d’épreuves en surprises, par une volonté mystérieuse qui est celle du
193 complètement différent. 14. Je ne parle pas des héros de la guerre, mais de la paix. 15. Est-ce un si grand bien ? Pour le
194 Pour le grand nombre, oui, probablement. Pour le héros , non. Pour le saint, c’est indifférent. 16. Je pense à Mein Kampf, a
100 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
195 ’est pourquoi l’un des premiers malheurs de notre héros est de ne plus pouvoir aimer ni être aimé.) J’ai dit que la liberté d
196 s savons le mieux que nous le sommes. Voyez cette héroïne de Stendhal : « Je ne me fais plus aucune illusion, lui disait-elle,