1
l-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)aw Au
hasard
d’une rencontre, l’auteur de ce récit se lie avec un inconnu qui se d
2
es histoires comme son Pierangelo dans la vie. Le
hasard
, complice des poètes, lui fait rencontrer des êtres bizarres avec les
3
ndiloquence « antilittéraire » et des révoltes au
hasard
d’un Maldoror. Elle demande une pensée forte et orientée plutôt que c
4
d’un autre bal et cette perspective de voyage au
hasard
et commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… …………………………
5
our une sorte d’incantation capable d’incliner le
Hasard
? Ô décevantes chasses dans les bazars, aux étalages des fêtes popula
6
rançais. J’expliquais donc que je ne voyage qu’au
hasard
, et pour rien ni personne. Sur quoi : « Monsieur a du temps à perdre
7
avec des verres et des bouteilles sont placées au
hasard
dans l’espace vide où tourne la fumée des cigares. Assis sur la banqu
8
bout d’un monde, au bord extrême de l’Europe. Le
hasard
a voulu que j’y entende, un soir, une présentation de musiques hongro
9
s aveugles (j’avais peur du bruit de mes pas). Au
hasard
, j’ai suivi des sentiers dans les champs de maïs, épiant la venue d’u