1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 e, et rien ne sera suffisant. New York a les plus hauts gratte-ciel du monde, c’est vrai. Mais Le Corbusier, promené pendant
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 e de papiers multicolores descendait lentement du haut des gratte-ciel, dansant à travers les faisceaux des projecteurs de c
3 t à ne rien entreprendre sans son appui. Les plus hauts fonctionnaires n’hésitent pas à participer à des débats publics, ou à
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 he en tête, extravagante, empanachée, levant très haut les jambes et marquant la mesure. Puis vient le groupe des officiels
5 inconvénient à ce qu’un lieu de culte soit moins haut qu’un building, comme une hostie est moins grosse qu’un pain ; ils ne
6 uleur de la saison ou de la fête liturgique. Plus haut , l’église collégiale hollandaise, de style baroque, en marbre blanc ;
7 s : c’est là que les acteurs vont se marier. Plus haut encore, une autre église gothique aux flèches banales en pierre grise
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8 lle va se lever et sortir d’un pas vif, le menton haut , les cheveux au vent. Et le mari se hâte d’obtempérer pour éviter le
5 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 p plus jolis que nos villas de macaron ocré, trop hautes et maigres, hérissées de pierres en relief et de balcons de fer, enfe
10 er ni même rejoindre cette dernière dans ses plus hautes ou délicates fantaisies. Quant au citoyen moyen des États-Unis, il te
6 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
11 cifique. On ne pouvait plus rien ajouter aux plus hauts gratte-ciel de New York, à ces grandiloquents témoins de la Crise de