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mer (d’un terme d’ailleurs emprunté à l’antiquité
hellénique
) la mesure d’une civilisation, le canon d’une culture et d’un ordre s
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me. Le nom de Légion évoque par ailleurs le mythe
hellénique
de Protée. Nous venons d’énumérer les rôles principaux que le diable
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me. Le nom de Légion évoque par ailleurs le mythe
hellénique
de Protée. Nous venons d’énumérer les rôles principaux que le diable
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mutation périlleuse d’un mot latin et de contenus
helléniques
en un dogme exprimant la nature triple et une de la Divinité révélée
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lutte permanente contre les castes. La démocratie
hellénique
, l’expansion de la morale chrétienne, la Renaissance et la Révolution
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lutte permanente contre les castes. La démocratie
hellénique
, l’expansion de la morale chrétienne, la Renaissance et la Révolution
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mutation périlleuse d’un mot latin et de contenus
helléniques
en un dogme exprimant la nature triple et une de la Divinité révélée
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nventrice, active et artiste, le symbole du génie
hellénique
. Sa deuxième épouse sera Thémis, la justice. Plus tard, il prendra po
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ire et reflète à la fois la naissance de l’Europe
hellénique
. Ainsi le mythe traduit la mutation religieuse d’une civilisation ven
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nventrice, active et artiste, le symbole du génie
hellénique
. Sa deuxième épouse sera Thémis, la justice. Plus tard, il prendra po
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ont ces peuples-là qui créèrent les civilisations
hellénique
, romaine, celte et germanique ; civilisations qui dépassent de beauco
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e biblique rejaillit parmi nous mêlée à la source
hellénique
la plus ancienne et la plus vive. D’une manière plus précise, l’Europ
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ielle qui « achève » (en la tuant) la « culture »
hellénique
: Sans âme, sans philosophie, sans art, racistes jusqu’à la brutalit
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, se dressent comme une barrière entre la culture
hellénique
et le néant. Leur faculté d’imagination visant uniquement au pratique
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mer (d’un terme d’ailleurs emprunté à l’antiquité
hellénique
) la mesure d’une civilisation, le canon d’une culture et d’un ordre s
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oche-orientale, si étroitement mêlée aux origines
helléniques
et bibliques de la culture d’Europe. L’interprétation la plus éclaira
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oche-orientale, si étroitement mêlée aux origines
helléniques
et bibliques de la culture d’Europe. L’interprétation la plus éclaira
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tout ce que nous vénérons dans l’immense héritage
hellénique
. Ce qu’il faut dénoncer au nom de l’Europe, c’est la lugubre erreur d
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tation, que nous exerçons ce soir au nom du génie
hellénique
et pour la Grèce, ce droit resterait vain et dérisoire, s’il ne révei
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eule et totalement, et d’éliminer la composante «
hellénique
». Elle récuse comme « réactionnaires » ou « traîtres » ceux qui préc
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ythes et les tabous païens (égyptiens, syriaques,
helléniques
) ne cessaient d’animer le rêve médiéval. Car même si l’on décrète l’i
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oche-orientale, si étroitement mêlée aux origines
helléniques
et bibliques de la culture d’Europe. Sa meilleure interprétation me p
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et les tabous « païens » — égyptiens, syriaques,
helléniques
— ne cessaient d’animer le rêve médiéval. Même si l’on exclut la poss
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inégales : Athènes, Rome et Jérusalem. Tradition
hellénique
: la Grèce de Delphes et de Délos, d’Athènes, de Thèbes et de Lacédém
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alisme exclusif et ascétique du Temple, la mesure
hellénique
, l’anarchie hellénistique et les structures collectivistes et profane
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dement établie qui veut que la décadence du monde
hellénique
ait résulté « de l’incapacité de ceux à qui la tâche incombait de dép
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problème de la souveraineté locale dans le monde
hellénique
et le problème correspondant dans le nôtre, aujourd’hui. Toutefois, à