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à boire. Mais elle leur verse par erreur « le vin
herbé
» destiné aux époux, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boiv
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ipotent, Il ne m’aime pas, ne je lui, Fors par un
herbé
dont je bui Et il en but : ce fu pechiez. La situation dans laquell
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à boire. Mais elle leur verse par erreur « le vin
herbé
» destiné aux époux, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boiv
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ipotent, Il ne m’aime pas, ne je lui, Fors par un
herbé
dont je bui Et il en but : ce fu péchiez. La situation dans laquelle
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tion du philtre, et quand Thomas faisait du « vin
herbé
» un symbole de l’ivresse amoureuse, Gottfried y voit le signe d’un d
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à boire. Mais elle leur verse par erreur « le vin
herbé
» destiné aux époux, et qu’avait préparé la mère d’Iseut. Ils le boiv
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potent, Il ne m’aime pas, ne je lui, Fors par un
herbé
dont je bui Et il en but : ce fu pechiez. La situation dans laquelle
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tion du philtre, et quand Thomas faisait du « vin
herbé
» un symbole de l’ivresse amoureuse, Gottfried y voit le signe d’un d
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opulaire du philtre magique de la Reine, du « vin
herbé
» dont la vertu jadis fut mortelle aux amants séparés, mais fut aussi
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qui atteint la grandeur par la densité (« Le Vin
herbé
»), Rolf Liebermann et Heinrich Sutermeister, fêtés par toute l’Allem
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« voyage », diraient-ils, où nous entraîne le vin
herbé
du Roman primitif, par l’expérience poétique et musicale. C’est une q
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opulaire du philtre magique de la Reine, du « vin
herbé
» dont la vertu jadis fut mortelle aux amants séparés, mais fut aussi
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ue. Et n’est-ce pas d’une intoxication — le « vin
herbé
» servi par une « erreur » sans laquelle point de roman — que naît l’