1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 re, sans préjugés ni fausse pudeur. Couché dans l’ herbe grasse, écrasé par son sac, l’homme observe l’avant-terrain par-desso
2 assé, sans avenir. Tout le présent limité par ces herbes où circulent des bestioles maladroites. Le drap du pantalon colle au
2 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
3 i vu, aux frontières de la Suisse, l’invasion des herbes sauvages venant des terres abandonnées du Nord et que nos paysans s’e
3 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 ux, aux esplanades, aux terrains vagues envahis d’ herbes . Les arbres cachent les façades, moutonnent à la hauteur des toits, e
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
5 par-dessus le dos gris d’un cheval qui broutait l’ herbe d’un marais. Buenos Aires, début de septembre 1941 Un seul grat
6 umets déchiquetés par le vent tiède. Couché sur l’ herbe je sens vivre une terre étrange, plus jeune et plus ancienne qu’aucun
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
7 atues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’ herbe , près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la cour sablée