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i nous vivons dans l’obéissance et dans la foi, l’
histoire
s’arrêterait comme l’Aspiration d’un homme saisi par la beauté, et le
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rons nos vies : c’est pourquoi nous vivons dans l’
Histoire
, et dans l’absence, ou dans la nostalgie des temps qui viennent ; c’e
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ansforme. Vertige de la « vie chrétienne », cette
histoire
de Dieu dans le temps, cette histoire de l’éternité ! « Il suffit d’u
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ne », cette histoire de Dieu dans le temps, cette
histoire
de l’éternité ! « Il suffit d’un courage purement humain pour renonce
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’elle est un acte et un destin, une initiale de l’
histoire
, une effigie de la Parole créatrice. 6. Le contraire de l’acte, c’
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survient comme une absurdité, la première dans l’
histoire
du bourgeois, mais décisive. À une enquête dont le sujet était : La r
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à tout ce qui est création dans la nature, dans l’
histoire
, dans la vie de l’esprit ? 24. Extrait d’un ouvrage intitulé Pens
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ens modernes, avec une fureur sans exemple dans l’
histoire
de la culture, trahissent en somme l’impuissance pratique de notre la
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a très vivement critiqué le dernier chapitre de l’
Histoire
de la littérature française de Thibaudeti : celui qui est consacré à
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épaisseur, de variété… », « accrochés aux petites
histoires
de leur milieu… »). On a dit : le chapitre est bâclé. Je me demande s
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quer d’une empreinte durable un moment donné de l’
histoire
sociale, ils s’étalent dans la durée et vagabondent à travers les gén
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anciers cyclistes, ne reste un trait capital de l’
histoire
du roman, du paysage, du roman, pour cette tranche de siècle que meub
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vaises nostalgies. ? Qui pourrait nous écrire une
histoire
des inventions de l’insomnie ? Ne serait-ce pas tout simplement l’his
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e l’insomnie ? Ne serait-ce pas tout simplement l’
histoire
de la naissance de nos démons ? La nuit ne pose pas de questions immé
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t par l’un des instituteurs. Il s’agissait de « l’
histoire
de notre département ». La discussion n’a vraiment démarré que lorsqu
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vieillesse, accidents du travail, incendie et une
histoire
très compliquée de capitalisation-loterie, qui l’excite particulièrem
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e le lecteur demande, c’est qu’on lui raconte une
histoire
, me dit R. — Mais si je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des
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une histoire, me dit R. — Mais si je raconte mon
histoire
? — Le lecteur veut des histoires inventées. — Mais si je lui dis que
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i je raconte mon histoire ? — Le lecteur veut des
histoires
inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon histoire ? — Il ne
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inventées. — Mais si je lui dis que j’invente mon
histoire
? — Il ne vous croira pas, vous ne savez pas mentir. — Mais pourquoi
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rce que c’est gênant. Cela oblige à conclure, une
histoire
vraie. Cela vous met en question, cela vous invite à comparer les sit
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amisso à Hofmannsthal, plusieurs ont repris cette
histoire
. Le dernier même y mêle une assez opaque science, sans détriment pour
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s laisse indifférents : ils sont sur le plan de l’
histoire
, non des vérités éternelles. Placez-vous donc sur ce plan historique.
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les derniers opposants. Vous pensiez être dans l’
histoire
, dans le réel : on vous invite maintenant à n’en pas croire vos yeux,
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vérités éternelles pour entrer dans le plan de l’
histoire
, cela signifiait donc, précisément, renoncer à la vérité, et ne croir
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Je ne vois pas les effets d’une telle foi dans l’
histoire
de notre Occident52. Si je n’ai pas votre foi, je ne les vois pas. Je
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e déjà l’essentiel, que Marx voyait au terme de l’
histoire
: la personne. Et alors, il attaque le monde ! Mais un homme qui se c
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n immédiate sur un fait qui n’est pas accompli, l’
histoire
n’ayant jamais connu de réalisation de communisme. Ainsi, des deux, c
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mêmes inconvénients. Certes il y a des lois de l’
histoire
en ce sens qu’on retrouve les mêmes mécanismes partout où l’esprit dé
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stein, rétorquait : « Toutes les révolutions de l’
histoire
de l’Occident, sont sorties de la religion chrétienne. Toute autre ca
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cour suprême du synode national ». (John Viénot,
Histoire
de la Réforme française, I, p. 271.) 62. C’est-à-dire : fondée sur l
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ation et destin d’Israël (1937)r Sens de « l’
histoire
» d’Israël Un prophète, a écrit Karl Barth, est un homme sans biog
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e que l’Éternel choisit n’est pas moins vrai de l’
histoire
profane des Juifs, porteurs eux aussi d’une mission que rien en eux n
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eut le dire sans paradoxe : Israël n’eût pas eu d’
histoire
sans la promesse que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tom
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e répond à nul besoin historiquement déterminé… L’
histoire
, au sens hégélien ou tainien, ou matérialiste-dialectique, se donne p
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e similitude facile nous permet de l’imaginer : l’
histoire
n’a pas la plus petite raison de supposer que le peuple d’Israël, s’i
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es des Hébreux. Ce que nous connaissons de leur «
histoire
» — mais le mot prend ici un sens nouveau — c’est la suite des gestes
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t matérielles que politiques et spirituelles65. L’
histoire
des civilisations nous offre certes d’autres exemples assez grandiose
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muel appelé trois fois par Jéhovah, — que ce soit
histoire
ou légende, ces personnages lui sont incomparablement plus familiers
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courci de la présente étude. Du point de vue de l’
histoire
du peuple juif, ce raccourci souffre, entre autres, d’une très grave
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chap. VI, trad. d’Arnaud d’Andilly. 68. Renan,
Histoire
du peuple d’Israël, t. II, p. 265. 69. « L’embarras de l’hébreu pour
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ie réformée que de voir dans l’Ancien Testament l’
histoire
du Christ avant qu’il vienne, dans les Prophètes, des Apôtres avant l
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té des professeurs de dogmatique luthérienne ou d’
histoire
de l’Église dans les trois facultés françaises de théologie protestan
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ntimentale. À défaut de la foi, ils connaissent l’
Histoire
, et savent de quoi l’Europe s’est faite. Pierre Beausire ne craint pa
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s livres de Nietzsche. Mais non pas encore dans l’
Histoire
? Si ce n’est pas une utopie de plus, un refuge pour les faibles et l
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ourrait être mortellement compromettante. Aussi l’
histoire
de la pensée n’est-elle peut-être que la chronique de ses retraites é