1 i nous sommes neutres. ⁂ En aucune heure de notre histoire , nous n’avons éprouvé une telle nécessité de prendre ou de reprendre

2 e raison d’être, et il n’est pas d’exemple dans l’ Histoire qu’un État qui a perdu sa raison d’être y survive plus de quelques an

3 qui est tout. Un lieu de passage des forces de l’ Histoire , le catalyseur de ces forces, qui sont là dressées devant vous, susci

4 roisième Reich. C’est un signe de Dieu dans notre histoire confuse. l. « Qui est Hitler ? » L’Hebdomadaire du temps présent, P

5 avions coutume de voir dans le lointain de notre histoire , par le gros bout de la lunette du temps, la voilà qui s’agrandissait

6 une vie d’homme réel, un siècle décisif de notre histoire , un grand drame religieux au seuil de la Réforme, — et déjà des dialo

7 a paix qu’elle chantait. Je vous ai raconté cette histoire pour apporter un témoignage assez précis au vieux débat de l’inspirat

8 it bientôt traduite. C’est un excellent travail d’ histoire revécue. s. « Nicolas de Flue : naissance d’un drame », Formes et co

9 es. C’est la guerre la plus antisuisse de toute l’ histoire . C’est donc pour nous la pire menace. Mais en même temps, la plus bel

10 ous faisions la montre… Mais ceci c’est une autre histoire , et qui m’entraînerait assez loin. … Ne serait-ce pas notre rôle actu

11 alité ? Comment passer de notre théologie à notre histoire  ? Qu’est-ce que cette personnalité dont la valeur varie si curieuseme

12 s, si nous cherchons comment sont apparues dans l’ Histoire les notions d’individu et de personne, et les systèmes qui s’y oppose

13 à l’état de fonctionnaires ou de soldats. C’est l’ histoire de la décadence de Rome. Le type d’homme que suppose l’État romain, c

14 e chrétien. Car voici le moment décisif de notre histoire . La Grèce individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang.

15 Et ce fait, c’est l’événement central de toute l’ Histoire , la seule nouveauté absolue de tous les temps : l’incarnation de Dieu

16 en particulier les relations politiques. Toute l’ histoire de l’Europe serait à refaire à partir de cette constatation : que les

17 dividu et la personne, abordons notre siècle et l’ histoire présente. Car en définitive, c’est de cela qu’il s’agit. L’histoire n

18 Car en définitive, c’est de cela qu’il s’agit. L’ histoire n’est jamais qu’un tremplin pour mieux sauter en plein cœur de l’actu

19 e. Ceci nous charge d’une responsabilité devant l’ Histoire . Que devons-nous faire pour nous montrer à peu près dignes d’une tell

20 forces individuelles les plus marquantes de notre histoire , l’on trouve au premier rang la figure populaire de Nicolas de Flue.

21 n, nous autres Suisses du xxe siècle, dans notre histoire et notre géographie. Ensuite, si nous bénéficions de privilèges consi

22 nt en contradiction avec l’évolution récente de l’ Histoire . Elle proclame que les nations « jeunes » et « dynamiques » ont droit

23 unes ne vont pas sans les autres, et toute notre histoire en témoigne. « Une politique de liberté ne peut être faite que par de

24 t l’intérieure, ont toujours été liées dans notre histoire . C’est parce que les premiers Suisses avaient la passion de leurs lib

25 nous reste, par exemple, à découvrir toute notre histoire , ou nos histoires diverses, si curieusement défigurées et affadies pa

26 exemple, à découvrir toute notre histoire, ou nos histoires diverses, si curieusement défigurées et affadies par les manuels. Il

27 année. Ils n’ont qu’à faire la guerre pour leurs histoires  ! Moi je sais ce que c’est, je l’ai faite la guerre. Mais cette fois-

28 tteurs : des raisons de vivre et de mourir. Notre histoire est celle de la liberté, certes, mais de la liberté menacée, conquise

29 ement total de nos troupes. Une seule fois dans l’ histoire la Suisse a succombé : en 1798. Les causes de cette défaite sont bien

30 us élever à la hauteur de l’idéal forgé par notre histoire . Rendons la Suisse digne d’elle-même, et rendons-nous plus dignes d’e

31 e la guerre nous vomisse… Mais ceci est une autre histoire .) On ferait bien de ne pas utiliser comme des proverbes généraux cert

32 nue neutre qu’à partir d’un certain moment de son histoire . Or ce qui est éternel ne commence pas à un certain moment, en 1648 o

33 Tout ce qui commence à un certain moment, dans l’ histoire , cessera aussi nécessairement à un autre moment. On peut le nier parf

34 lus loin. » Pourquoi est-ce comique ? Parce que l’ histoire et la politique ne cessent pas de modifier ces positions toutes relat

35 le envie de peindre… ⁂ Son réalisme ne fait pas d’ histoires , parce qu’il n’est pas une polémique mais une acceptation des choses,

36 ns son principe la guerre la plus antisuisse de l’ histoire . C’est donc pour nous la pire menace. Mais en même temps la plus bell

37 et même deux espèces de Bâlois ! Qu’il y ait une histoire de l’Appenzell et une histoire de Genève ! Cette variété dans l’unité

38  ! Qu’il y ait une histoire de l’Appenzell et une histoire de Genève ! Cette variété dans l’unité — Dieu veuille nous la conserv