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rachtungen renouvelle une vision synthétique de l’
histoire
, dont son fervent disciple, Nietzsche — qui est aussi son plus jeune
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, bien entendu, ne furent jamais atteintes dans l’
histoire
de l’Europe. Mais en chemin vers la première, nous trouvons le règne
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tat ou État), n’est confirmée par rien dans notre
histoire
, et tout la réfute en pratique. Si un despote ou un État impérialiste
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berté individuelle et de la solidarité sociale. L’
histoire
suisse illustre à l’envi ce processus de création fédéraliste par nég
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aintes et de nos forces de défense. Aux yeux de l’
histoire
, la cause est entendue. Et quant aux entreprises impérialistes des Eu
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decine et de l’hygiène, des arts et lettres, de l’
histoire
, de l’éducation, de l’architecture et de l’urbanisme. Le ministre de
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long processus historique englobant des siècles d’
histoire
commune et toutes les diversités que l’on sait, le District fédéral n
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ltère. Qu’est-ce qu’un mythe ? Un mythe c’est une
histoire
simple et frappante résumant un nombre infini de situations plus ou m
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oduit par cette note : « Tous les couples ont des
histoires
, même les couples heureux. Ils ont des problèmes, des déceptions, des
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e dissipe comme brume au soleil à la lumière de l’
Histoire
. La culture européenne n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais un
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eva mille fureurs contre les girondins. » Thiers,
Histoire
de la révolution, chap. I. Pour un Français, la cause est entendue :
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e dissipe comme brume au soleil à la lumière de l’
Histoire
. La culture européenne n’est pas, n’a jamais été et ne sera jamais un
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mouvement naissant, qui a peut-être le vent de l’
histoire
en poupe. Ils ne sont pas nombreux d’abord, ils ne sont pas suivis pa
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r ma part, d’aborder le problème sur le plan de l’
histoire
des idées, en traitant des aspects fédéralistes dans les projets et p
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encore de résultats. Cependant, ce n’est pas une
histoire
des échecs de l’idée européenne, ni des déchets de la pensée fédérali
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(ceci peut être vérifié le plus exactement dans l’
histoire
suisse). Le mot n’a été connu qu’au moment où la chose était niée par
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housois Jean de Müller, dans sa Vue générale de l’
histoire
du genre humain (1797) annonce comme Rousseau que « tous les États de
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aque démarche de nos gouvernants pour rejoindre l’
histoire
en train de se faire, semblait prématurée aux yeux de nos sages et de
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— a changé de nature et de finalité. Isolée de l’
Histoire
, en quelque sorte, elle n’est plus celle que les Puissances garantire
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l’échelle mondiale ? Pourquoi cette timidité ? L’
histoire
n’est pas faite par des gens qui défendent leur position, mais bien p
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ux le croire avec Victor Hugo : La Suisse dans l’
histoire
aura le dernier mot. Mais encore faut-il qu’elle le dise ! 13. Il
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Schweizerische Nationalität. 15. Edgar Bonjour,
Histoire
de la neutralité suisse, 1946, p. 9 : L’auteur n’hésite pas à parler
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hec essentiel produit en somme la durée même de l’
Histoire
. Et malheur à celui qui n’est pas prêt à tirer son bien de ce mal ! M
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listes, sources des guerres les plus atroces de l’
Histoire
, et, si l’on constate d’autre part que la menace atomique tient en re
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ans sa genèse, elle n’est même pas utilitaire ! L’
histoire
des grandes inventions, de celle du feu à celle de la fusée spatiale,
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du feu à celle de la fusée spatiale, n’est pas l’
histoire
de « besoins » qui auraient existé avant elles, c’est plutôt l’histoi
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» qui auraient existé avant elles, c’est plutôt l’
histoire
de nos rêves. L’hypothèse si longtemps admise sur l’origine utilitair
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n pour produire les plus grands effets de toute l’
histoire
— la technique nous met au défi de prendre conscience de nos options
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ment hétérogènes que la politique et la morale, l’
histoire
, et la psychologie d’une vingtaine de peuples n’ayant guère en commun
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’elle se trouverait coïncider avec « le sens de l’
Histoire
» comme certains disent. Elle ne sera pas non plus l’œuvre d’un dicta
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rs de différenciation qui font de l’Europe dans l’
histoire
une unité caractérisée par sa diversité : Ou encore : — connaître nos
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uvent manquer de se présenter dans chaque leçon d’
histoire
, de géographie et d’économie, de langues et de littérature prévue par
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yme d’Alexis Léger.) Pour la première fois dans l’
histoire
, les gouvernements de l’Europe sont requis de se prononcer publiqueme
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fs de son apparition en ce moment précis de notre
histoire
et de l’évolution de notre société occidentale. À peine a-t-on pris l
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us vite de nos jours qu’à l’aube grecque de notre
histoire
. Je ne cite pas la Grèce par hasard. Car je tiens la région pour une
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utée, il est vrai, par un simple coup d’œil sur l’
Histoire
, lequel fait voir premièrement que les nations sont de formation réce
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tres, ou de la providence, ou du « mouvement de l’
Histoire
», alors oui, nous en sommes pour nos frais. Mais j’appelle espérance
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e la meilleure œuvre musicale « de chez nous », L’
Histoire
du soldat. On peut citer les prix Nobel que je vous disais tout à l’h
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hui qui ont passé par l’école et croient savoir l’
histoire
s’imaginent qu’il y a toujours eu des États, que les nations sont imm
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l faudrait enseigner dans nos écoles un minimum d’
histoire
générale de l’humanité et des formes politiques, assez pour rappeler
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i ne connaissait que les tribus et leurs clans, l’
histoire
commence avec les grands empires réunissant et fixant d’innombrables
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fs de son apparition en ce moment précis de notre
histoire
et de l’évolution de notre société occidentale. À peine avons-nous pr
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us vite de nos jours qu’à l’aube grecque de notre
Histoire
. Je ne cite pas la Grèce par hasard. Car je tiens la région pour une
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tionale en général. Bien sûr, un coup d’œil sur l’
histoire
suffit à réfuter cette croyance. Bien sûr, dès la fin du siècle derni
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nt par le jeu spontané du fameux « mouvement de l’
Histoire
». Il faudra que la succession, le remplacement s’opèrent dans les es
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ec une sorte d’instinct, non seulement chargées d’
histoire
assimilée par l’inconscient, mais encore chargées d’une extrême affec
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ndépendantes du sol. Pour la première fois dans l’
histoire
, la cité se détache du territoire, elle « décolle » ; une unité polit
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spectives Vous allez contre le mouvement de l’
Histoire
, selon lequel la nation est le Progrès. La région est une nostalgie r
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onstitue l’unité nationale, terme absolu de toute
histoire
d’un peuple digne de ce nom. Ayant « fait son unité » (comme on fait
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naire avant notre ère). Au cours des siècles de l’
histoire
moderne, ce sont les guerres qui ont servi de prétexte à ces concentr
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toire délimité au mètre près par les hasards de l’
histoire
, je crierais à la dictature totalitaire, c’est-à-dire que je crierais
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étatisé. C’est la guerre la plus antisuisse de l’
histoire
. Maintenant, la preuve est faite, attestée par le sang, que la soluti
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Toynbee le faisait de son côté, qu’il n’y a pas d’
histoire
de la culture concevable, intelligible, en dehors d’une unité de civi
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ne partaient pas encore du seul langage, ni de l’
histoire
, ni des sciences exactes, et encore moins de l’économie, mais de la c
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e relie les deux pôles du drame originel de notre
histoire
, le Gothard des premières communes confédérées, vaste massif aux flan
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les moments les plus typiquement suisses de notre
histoire
: les voici disposés tout au long de son cours dans leur ordre chrono
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« pays de l’Aar », vient ensuite, en aval dans l’
histoire
comme sur la carte : libérée par la Révolution, c’est elle qui va don
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nent de notre destin. L’Europe est partout dans l’
histoire
comme dans le cours physique de l’Aar. À cause des fleuves, qui sont
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géographie, au xviiie siècle déjà. À cause de l’
histoire
impériale, j’entends romano-germanique, et généralement gibeline, qui
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ntaxe émotive de mon dialogue avec la nature et l’
histoire
. Mais voyager en Grèce est une autre aventure. Qu’on le veuille et le
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uropéen nous apparaît, tel que les accidents de l’
Histoire
nous l’ont laissé, à la fois trop petit et trop grand. Il est trop pe
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le de pensée fédéraliste ainsi posé à la clé de l’
histoire
européenne, il reste à repérer les principaux domaines de la réalité
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confédération ou fédération. Je crois que toute l’
histoire
prouve que les confédérations sont des formules transitoires qui sont
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qui est sans doute l’une des plus saugrenues de l’
histoire
: Simple touriste, entièrement étranger à cette grande lutte, j’eus
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paix perpétuelle, supposent toujours la fin de l’
Histoire
, du moins telle que nous l’entendons ? Il convient de s’entendre sur
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te) : si vis pacem para bellum, alors que toute l’
histoire
démontre que les guerres croissent en étendue comme en puissance de m
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pour mes cours : L’École : « L’enseignement de l’
histoire
est, dans les universités, les lycées, les pensionnats, les séminaire