1
phrase, que voici : Pour la première fois dans l’
histoire
, l’homme d’aujourd’hui se voit contraint de choisir librement son ave
2
uis parfois tenté d’écrire cette épopée, ou cette
histoire
de fous, qui aurait pour titre : L’Autodestruction d’une civilisation
3
de cet Hitler, que Herman Kahn n’a pas prévu. Une
histoire
de fous, je vous l’ai dit. Et seul peut-être un fou eût pu prévoir so
4
rantes, erronées, — mais qui hélas ont fait notre
histoire
! Herman Kahn vient d’avouer qu’à ses yeux, Hitler était méthodiqueme
5
t national est l’aboutissement suprême de toute l’
histoire
. Qu’il n’y a rien à imaginer au-delà. Et nous en avons persuadé la te
6
gènes, telles que langue et sous-sol, économie et
histoire
. Il faudrait un miracle pour que ces réalités coïncident dans l’espac
7
thniques, économiques, de transport, d’énergie, d’
histoire
commune, mais pas nécessairement de langue commune. Pourquoi dites-vo
8
e, ce qu’il y a dans le sous-sol, l’état civil, l’
histoire
, les développements récents de la technique, toutes choses qui n’ont
9
hui. Bidault les a appelées « des cicatrices de l’
histoire
», ce qui était assez joli. Le professeur Ancel, de la Sorbonne, dit
10
résultat des viols répétés de la géographie par l’
histoire
». Aujourd’hui, si l’on parle tellement des régions en Europe, c’est
11
étariat — l’État dépérira nécessairement. Toute l’
histoire
du xxe siècle le dément. Il est devenu évident que l’État est plus f
12
ît entre les deux ; Unilever n’est pas liée à des
histoires
militaires comme ITT. Il n’y a pas seulement des histoires militaires
13
militaires comme ITT. Il n’y a pas seulement des
histoires
militaires… Aussi, je vous demande de bien vouloir vous prononcer sur
14
le désir de prospérité ? Sans doute, car toute l’
histoire
du siècle est dominée par l’angoisse des hommes devant l’absence de c
15
bord les croire… (Situation moins nouvelle dans l’
histoire
qu’on ne le pense : c’est celle du peuple juif devant ses grands prop
16
nts, peut saisir et peut seule activer dans notre
histoire
. Où irons-nous ? Au nom de quoi ? Et en vue de quelles fins faut-il c
17
absolu, c’est la personne. Or la personne a une
histoire
, comme bien d’autres structures que l’on croirait intemporelles et un
18
s c’est ainsi qu’on le nomme aujourd’hui dans les
histoires
de cette période). ⁂ L’idée œcuménique avait été lancée par quelques
19
aire, qu’il abandonnera plus tard pour sa fameuse
Histoire
du christianisme. Il est le seul d’entre nous à toucher le grand publ
20
urg, et le père Reinecke refusait de croire à mes
histoires
. Soudain j’ai dit : « Voilà que ça me prend, tout justement ! Attende
21
ratiquée pendant des siècles. Cette idée est leur
histoire
même. Bien avant d’être leur « message » (au moins virtuel), elle a é
22
.) Pourtant, toute la complexité baroque de notre
histoire
fédérale se ramène en fin de compte à une loi des plus simples : les
23
en que la philosophie, les arts, les lettres et l’
histoire
) le petit État l’emporte haut la main sur le grand. La musique, la pe
24
ture, où l’on jette pêle-mêle les reportages et l’
histoire
, la métaphysique et les Mémoires de « Papillon », et tout ce que, fau
25
réface] », Théodore Strawinsky : Musée d’art et d’
histoire
, Neuchâtel, du 29 novembre 1974 au 19 janvier 1975, Neuchâtel, Musée
26
4 au 19 janvier 1975, Neuchâtel, Musée d’art et d’
histoire
, 1974, 2 p. (non paginé).
27
légitimes. Inquiétude du nanti, « spectateur de l’
Histoire
» ; est-ce que ça va durer, est-ce qu’on va nous laisser longtemps en
28
riche devant le pauvre, de celui qui échappe à l’
Histoire
devant celui qui la subit. Pendant l’entre-deux-guerres, en 1936, Kar
29
en réalité que les hôtes et les spectateurs de l’
Histoire
. Considérant les autres peuples, ils se réjouissent de leur liberté e
30
cusait ses compatriotes d’être « spectateurs de l’
Histoire
» ! S’il s’avère au contraire que la neutralité peut se justifier dan
31
ux. Mais ce n’est pas encore le plus curieux de l’
histoire
. Née du rêve typiquement adolescent de partir au hasard sur les route
32
faveur des formules qu’elle illustre de toute son
histoire
: la fédération, les communes, le vrai civisme, le refus du recours à
33
rit, il y a plus de dix ans, dans La Suisse ou l’
histoire
d’un peuple heureux . Aujourd’hui, il me semble que ce « modèle » (au
34
spectueux de la légalité. Tous les moments de son
histoire
sont en rupture de légalité ! Aujourd’hui, Guillaume Tell aurait été
35
les tensions trop fortes, tout se passerait sans
histoire
— dans tous les sens du mot histoire. Il n’y aurait plus qu’une espèc
36
sserait sans histoire — dans tous les sens du mot
histoire
. Il n’y aurait plus qu’une espèce de raison moyenne qui dominerait, d
37
t fait obstacle à l’accomplissement sexuel « sans
histoire
», comme à la fusion avec l’Autre, détruisant toute altérité. Mais l’
38
« déclare » par des mots. On peut soutenir que l’
histoire
de l’Éros en Occident, des troubadours à notre siècle, se confond ave
39
en système dans la cortezia se retrouvent dans l’
histoire
de Tristan : désir exaspéré par les obstacles de toute nature à sa co
40
mental, voire au comique dans Don Quichotte, et l’
histoire
du roman européen, qui semble celle d’une longue dégradation du mythe
41
int de passion. « Les peuples heureux n’ont pas d’
histoire
», dit le proverbe. Un couple heureux ne fait pas un roman. L’histoir
42
overbe. Un couple heureux ne fait pas un roman. L’
histoire
de l’amour passionné sera donc celle de ses traverses, de ses malheur
43
eurs comme les amants préfèrent au bonheur « sans
histoires
». Dès le xive siècle, toute la littérature européenne s’est convert
44
étiques. Mais la mélancolie profonde qui baigne l’
histoire
de Tristan s’attache encore au roman de Rousseau comme à tous ceux qu
45
ert Schuman, piéton tranquille sur le chemin de l’
histoire
a frayé la voie vers l’union fédérale en s’y avançant le premier ! L
46
iva au premier chef Robert Schuman. Aux yeux de l’
histoire
, il restera l’homme d’État grâce auquel la première Communauté europé
47
ce siècle. Piéton tranquille sur les chemins de l’
histoire
, il a frayé la voie vers l’union fédérale en s’y avançant le premier.
48
Histoire
et prospective de l’identité européenne (1976)s Dans le champ des
49
sur la Philosophie du fédéralisme. J’y parlais d’
histoire
, bien sûr, d’anthropologie et de religion comparées, de philosophie,
50
cela m’a conduit à de multiples incursions dans l’
histoire
et l’ethnographie, les sciences religieuses et les théologies, la tec
51
discipline ne serait-elle pas tout simplement une
histoire
des idées en Europe, sur l’Europe et pour l’Europe ? Oui, mais cela n
52
es les études de votre Institut, non seulement en
histoire
, mais en économie, en science politique, en anthropologie philosophiq
53
t » du droit, des lettres, de la médecine ou de l’
histoire
, on peut penser qu’on reste dans l’universel ou tout au moins dans le
54
elui qui fait des lettres, de la médecine ou de l’
histoire
, de l’économie libérale ou marxiste, ou de la science politique en so
55
qu’il étudie est le vrai Droit universel ; que l’
histoire
a un sens et qu’elle détient la clé de l’évolution du Monde ; que l’é
56
t trop souvent les intellectuels européens. s. «
Histoire
et prospective de l’identité européenne », Institut universitaire d’é
57
x passions se manifestent dès les origines dans l’
histoire
de l’humanité, et s’opposent ou parfois se composent en chacun de nou
58
e la guerre atomique, c’est-à-dire de la fin de l’
histoire
humaine. Il est non moins clair que personne n’a jamais osé dire, ni
59
e (point de frontières naturelles à l’est), que l’
histoire
(intérêts divergents de nos cinq cantons au long des siècles), ou enc
60
nomie dérivée de la culture et des accidents de l’
histoire
répercutés sur nos communautés : l’horlogerie par exemple dans l’arc
61
anger, cela seul est certain. À la lumière de son
histoire
, essayons de conjecturer dans quels délais, dans quelles directives g
62
er plus qu’elles ne l’ont jamais été dans toute l’
histoire
européenne. Et que devient pendant ce temps « l’esprit romand » ? Sa
63
Belfort-Saint-Étienne-Aoste, aux débuts de notre
histoire
(de la fin du ixe au milieu du xie siècle) avait déjà été englobé d
64
ne serait-il pas enfoui au plus profond de notre
histoire
oubliée ? 31. Et même deux, si l’on fait rentrer dans la Romandie
65
ient chacune, depuis un millénaire au moins, leur
histoire
fort indépendante et différente de celle des autres. Ces histoires on
66
dépendante et différente de celle des autres. Ces
histoires
ont soudain convergé en l’année 1848 lors de la création de la Conféd
67
s offrir du communautaire, du religieux. » Et, en
histoire
, quand une jeunesse a faim, elle ne regarde pas ce qu’elle mange. Dan
68
t être différée ? Plus exactement, je crois que l’
histoire
se réserve toujours le droit de nous surprendre en enchevêtrant des s
69
, je me livrais à une étude du couple à travers l’
histoire
de l’Occident. Or qu’est-ce qu’un couple ? C’est l’assemblage d’un ce
70
e l’impérialisme, par exemple, n’est jamais que l’
histoire
d’une grande passion… Disons plutôt que la passion n’est jamais qu’un
71
public : fin du récit des civilisations, fin de l’
Histoire
. » Ce n’est tout de même pas à la panne d’essence que vous songez en
72
vre dit à peu près : pour la première fois dans l’
histoire
, l’homme se voit contraint de choisir librement son avenir, du seul f
73
gommer cette diversité des peuples, mais encore l’
histoire
officielle feint de l’ignorer. La révolution de 1789 a créé l’État-na
74
l’eau, aujourd’hui, pour la première fois dans l’
histoire
, l’homme peut choisir son avenir, grâce à la technique. Les catastrop
75
econdaires. Or qu’y apprend-on ? Des mensonges. L’
histoire
des frontières naturelles par exemple on apprend que les Pyrénées sép
76
l voit, à ce qu’il peut toucher. Parlons-lui de l’
histoire
naturelle de sa région, de ses coutumes, de ses produits, et montrons
77
e l’irruption d’Hitler dans l’ordonnancement de l’
Histoire
ont dépassé la Deuxième Guerre mondiale, ses ruines, ses massacres se
78
rogression de l’automobile. À première vue, cette
histoire
a l’air un peu fantaisiste, elle l’est moins dès que Denis de Rougemo
79
d’Israël. Or Israël, par un véritable hasard de l’
Histoire
, se trouvait entouré de pays producteurs de pétrole. La guerre du Kip
80
ur moi, pièce à pièce, un de ces agencements de l’
Histoire
dont on se demande qui a pu les imaginer. Ford part d’une extrémité,
81
public. Fin du récit des civilisations, fin de l’
Histoire
. Tout le monde sait aujourd’hui que l’épuisement des sources d’énergi
82
r à écrire FIN, mais À SUIVRE au bas de la longue
histoire
qui s’écrit depuis des siècles. bj. « Demain le soleil », France S
83
e comprirent qu’ils vivaient un grand moment de l’
Histoire
. Il s’agissait de substituer, tout simplement, dans les rapports sécu
84
els par lesquels l’Esprit infléchit le cours de l’
Histoire
». André Philip parle à son propos « des possibilités révolutionnaire
85
i bien parcourue sans avoir pour autant fait de l’
Histoire
. Si nous parlons ici de Robert Schuman, c’est parce qu’un jour de mai
86
rale du 9 mai 1950, montre une fois de plus que l’
Histoire
n’est pas faite par « les masses » mythiques, mais bien par des perso
87
ransformé un texte en acte et une épure en fait d’
histoire
. Qui est le vrai père ? Celui qui conçoit le projet ou celui qui le r
88
urs différences et dans leurs ressemblances que l’
histoire
a pu voir et enregistrer : coopération entre Sully et Henri IV, à pro
89
iva au premier chef Robert Schuman. Aux yeux de l’
Histoire
, il restera l’homme d’État grâce auquel la première Communauté europé
90
ce siècle. Piéton tranquille sur les chemins de l’
Histoire
, il a frayé la voie vers l’union fédérale en s’y avançant le premier.
91
mplètement différents par leur sens, dans toute l’
histoire
de France, en tout cas, à partir de Philippe le Bel, et dans notre hi
92
t cas, à partir de Philippe le Bel, et dans notre
histoire
suisse. Le sens du pouvoir n’est pas le même, et la différence excède